D'abord la valse, où deux êtres qui ne sont point époux, et qui même ne s'aiment point secrètement, joignent leurs corps. Respirant leurs tiédeurs intimes et leurs souffles inconnus, ils s'engagent dans un tourbillon qui les laisse de temps en temps reparaître aux yeux de leurs proches parents.
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Info: La bêtise parisienne, éditions Charavay frères, 1884, p. 201
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