Je ne connais qu'une vision de la poésie qui soit entièrement satisfaisante : c'est celle d'Emily Dickinson quand elle dit qu'en présence qu'un vrai poème elle est saisie d'un tel froid qu'elle a l'impression que plus aucun feu ne pourra la réchauffer.
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Info: De l'inconvénient d'être né, Folio, p.61
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