La ruse des jolies femmes est d'offrir de mille manières, et toujours avec grâce, ce qu'elles ne donnent presque jamais, si on le désire trop vivement. La contre-ruse des beaux garçons est d'avoir l'air de désirer peu ce qu'ils désirent infiniment.
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Info: De la vérité in L'artiste, Beaux-arts et belles-lettres, 4e série, T.2, p.115, Aux Bureaux de l'Artiste, 1844
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