La sainteté dans la musique d'église et une gaîté pleine de verve dans les mélodies populaires sont les deux bases de la vraie musique. Ces deux caractères produisent inévitablement leur effet : le recueillement et la danse. Leur mélange gâte tout. La faiblesse est fade ; et, lorsque la musique veut s'appliquer à la poésie didactique, descriptive, ou d'un genre analogue, elle devient froide.
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Info: Maximes et réflexions, Première partie, trad. Sigismond Sklower, p.11, Brockhaus et Avenarius, 1842
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