Il y a évidemment plein de journalistes qui n'ont ni ce qu'ils aiment ou alors qui ne se sont pas développé de manière à aimer ce qu'ils font. Ils pondent alors des papiers qu'ils n'ont pas plaisir à écrire, pour des journaux qu'ils méprisent totalement. Ce triste processus finit par ruiner leur style en désagrégeant leur personnalité, deux développements qui, pour un auteur, ne peuvent pas être séparés, puisque sa personnalité et son style doivent progresser ou se détériorer ensemble, comme un couple marié dans un pays où la mort serait la seule forme de divorce permise.
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