En temps de paix, le kamikaze s'étiole. N'ayant nul porte-avions sur lequel s'abattre, il se sent inutile à la société. L'envie de se tuer l'étreint et, croyez-moi, pour quelqu'un dont la raison de vivre est de mourir, l'idée de mort est invivable. Je ne sais pas si je suis clair, mais ça m'est égal.
Auteur:
Info: Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis, Ed. du Seuil 1985, p.28-29
Commentaires: 0