[...] une drogue est au bonheur ce que la masturbation est à l'amour : une fermeture sur soi-même, nécessaire à certaines périodes, qui devient appauvrissante si elle coupe le contact avec le monde extérieur.
Auteur:
Info: Petite philosophie à l'usage des non-philosophes, p. 89, Éd. Québec-Livres
Commentaires: 0