Les sports ont fait fleurir toutes les qualités qui servent à la guerre : insouciance, belle-humeur, accoutumance à l'imprévu, notion exacte de l'effort à faire sans dépenser des forces inutiles. Le jeune sportsman se sent évidemment mieux préparé à partir que ne le furent ses aînés. Et quand on est préparé à quelque chose, on le fait plus volontiers.
Auteur:
Info: Essais de psychologie sportive, Lausanne, Payot, 1913 pp 258-264
Commentaires: 0