Les louanges d'un sot ne devraient pas me flatter, et cependant me flattent presque autant que celles d'un homme d'esprit : un sot, dans le moment qu'il me loue, devient homme d'esprit ; l'homme d'esprit qui me loue n'est qu'un juge équitable.
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Info: Mes pensées ou Le qu'en dira-t-on, 1752, Droz 1997 <CCXXVII p.127>
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