Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info
Rechercher par n'importe quelle lettre



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits... Recherche mots ou phrases tous azimuts... Outil de précision sémantique et de réflexion communautaire... Voir aussi la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats ... Lire la suite >>
Résultat(s): 8
Temps de recherche: 0.0277s

Dirigeant

Nous devons être gouvernés par les meilleurs.

Auteur: Boissy d'Anglas François

Info: Discours entretiens et autres sources

[ chef ] [ politique ] [ gouvernement ]

 

Commentaires: 0

révélateur

On reconnaît un régime à sa langue.

Auteur: Mann Heinrich

Info:

[ politique ] [ langage ] [ gouvernement ]

 

Commentaires: 0

votations

Dans la démocratie, le pouvoir vient du peuple, mais généralement il ne revient pas vers lui.

Auteur: Walters Hellmut

Info:

[ majorité ] [ politique ] [ gouvernement ] [ égoïsme ]

 

Commentaires: 0

normalisation

Vous réaliserez que l'Etat est le genre d'organisation qui, si il fait mal les grandes choses, fait pareil pour les petites.

Auteur: Galbraith John Kenneth

Info:

[ politique ] [ gouvernement ]

 

Commentaires: 0

décentralisation

Durant cette période, les Écotopiens démantelèrent leur système national de recettes et de dépenses publiques pour en transférer presque intégralement le contrôle aux collectivités locales. Cela permit aux citoyens de réfléchir à la manière dont ils souhaitaient organiser la vie en commun, la répartition des populations et leur densité.

Auteur: Callenbach Ernest

Info: Écotopia

[ gouvernement ] [ politique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

temporel-éternel

Comme donc la société civile a été établie pour l’utilité de tous, elle doit, en favorisant la prospérité publique, pourvoir au bien des citoyens de façon non seulement à ne mettre aucun obstacle, mais à assurer toutes les facilités possibles à la poursuite et à l’acquisition de ce bien suprême et immuable auquel ils aspirent eux-mêmes. La première de toutes consiste à faire respecter la sainte et inviolable observance de la religion, dont les devoirs unissent l’homme à Dieu.

Auteur: Léon XIII Vincenzo Pecci

Info: Encyclique Immortale Dei, 1er novembre 1885

[ état ] [ gouvernement politique ] [ christianisme ] [ lien ] [ monothéisme ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

autorité

En effet, déclarer le peuple souverain, dans la crainte hypothétique qu’il ne soit opprimé comme sujet, sans prévoir quel pouvoir on pourra opposer à celui du peuple, ou plutôt avec la certitude de n’en avoir aucun à lui opposer si, à son tour, il devient oppresseur ; présupposer l’oppression, pour justifier la résistance ; ériger le désordre en loi, pour prévenir la violation de l’ordre, c’est imiter un insensé qui bâtirait sa maison au milieu d’un torrent, pour avoir l’eau plus à portée en cas d’incendie : ce que vous voulez faire faible à vous opprimer, dit Bossuet avec une raison si profonde, devient impuissant à vous protéger.

Je le répète : le pouvoir absolu est un pouvoir indépendant des sujets ; le pouvoir arbitraire, un pouvoir indépendant des lois : et lorsque vous érigez le peuple en pouvoir, vous ne lui donnez pas un pouvoir absolu, puisqu’il est dépendant de tous les ambitieux, et le jouet de tous les intrigants ; vous lui conférez nécessairement un pouvoir arbitraire, c’est-à-dire un pouvoir indépendant de toutes les lois, même de celles qu’il se donne à lui-même.

Auteur: Bonald Louis-Ambroise de

Info:

[ gouvernement ] [ distinction ] [ déresponsabilisation ] [ démocratie ] [ politique ]

 
Commentaires: 2
Ajouté à la BD par Coli Masson

totalitarisme

Si le mot de Terreur vous semble trop gros, cherchez-en un autre, que m’importe ! Il est possible que vous lui donniez le sens de séisme, qu’il évoque pour vous des incendies, les maisons croulantes, les cadavres lacérés par la populace. Or la Terreur dont je parle ne saurait fournir aucune de ces images, précisément parce que ceux qui l’organisent sont des gens pour qui l’ordre dans la rue est une nécessité absolue. Il est puéril de se représenter un tueur sous les aspects d’un brigand de mélodrame. Maximilien Robespierre était un bourgeois très comme il faut, déiste et moraliste. Soyez sûr qu’il aurait préféré la collaboration de bourgeois tels que lui à celle des sinistres carmagnoles déchaînées par Danton. S’il avait disposé d’une armée disciplinée, d’une police intacte, d’une magistrature régulière, d’un clergé docile, d’une administration laborieuse, il eût tué autant de monde, il eût tué même beaucoup plus de monde, sans que le service des diligences, des postes ou de la voirie en ait souffert. […]

Pour moi, j’appelle Terreur tout régime où les citoyens, soustraits à la protection de la loi, n’attendent plus la vie ou la mort que du bon plaisir de la police d’Etat. J’appelle le régime de la Terreur le régime des Suspects. C’est ce Régime que j’ai vu fonctionner huit mois. Ou, plus exactement, il m’a fallu dix mois pour m’ en découvrir, rouage après rouage, le fonctionnement. Je le dis, je l’affirme. Je n’exige nullement qu’on me croie sur parole. Je sais que tout se saura un jour – demain, après-demain, qu’importe ? Mgr l’Évêque de Palma par exemple en sait autant que moi. J’ai toujours pensé que Notre Saint-Père le Pape, torturé, dit-on, par le problème de la guerre civile espagnole, aurait grand intérêt à questionner ce dignitaire sous la foi du serment. 

Auteur: Bernanos Georges

Info: Les Grands cimetières sous la lune, Librairie Plon, 1938, pages 156-157

[ répression ] [ définition ] [ gouvernement politique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson