Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 4
Temps de recherche: 0.0219s

écrivain par politicien

Il n'y avait qu'un seul juif honnête, et il s'est suicidé.

Auteur: Hitler Adolf

Info: propos tenu par Adolf Hitler lors d'un séjour à Linz en Autriche évoquant l'écrivain Otto Weininger.

[ éloge ] [ fatale sincérité ] [ constat ] [ antisémitisme ]

 

Commentaires: 0

crétinerie

La stupidité ne se soigne pas. Elle est le seul crime capital universel ; sa sentence est la mort. Il n'y a pas d'appel, et l'exécution est automatique et immédiate.

Auteur: Heinlein Robert A.

Info:

[ létale ] [ fatale ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

symétrie

Chaque organisme empiète sur les plates-bandes de l'autre. Là où il y a un corps, nul autre ne peut être. Les oiseaux construisent des nids, les abeilles des rayons, les humains des maisons préfabriquées. Il n'y a pas d'équilibre naturel. Le cycle de la matière organique qui prodigue la vie naît du déséquilibre. Le soleil, qui se lève chaque jour. Un fort gradient énergétique qui nous maintient tous en vie. L'équilibre, c'est la fin, la mort.

Auteur: Schalansky Judith

Info: L'inconstance de l'espèce

[ fatale ]

 

Commentaires: 0

femmes-par-hommes

Tes boucles ténébreuses et lourdent coulent
sur tes blanches courbes comme un fleuve
et dans leur flot crépu et sombre je répands
les roses enflammées de mes baisers

Tandis que j'entrouvre les épais
anneaux, je sens le léger et froid
effleurement de ta main et un long frisson
me parcourir et me pénètre jusqu'aux os.

Tes pupilles chaotiques et farouches
étincellent au soupir
qui s'exhale et me déchire les entrailles,
et pendant que j'agonise, toi, assoiffée,
tu sembles un vampire sombre et obstiné
qui de mon sang ardent se repaît.

Auteur: Bolano Roberto

Info: Le vampire

[ fatales ] [ poème ]

 

Commentaires: 0