disparités
L'inégalité est vraie de fait pour la seule raison qu'elle est vraie de droit, elle est réelle pour la seule raison qu'elle est nécessaire. Ce que l'idéologie égalitaire voudrait dépeindre comme un état de justice, serait au contraire, d'un point de vue plus élevé et à l'abri des rhétoriques humanitaires, un état d'injustice. C'est une chose qu'Aristote et Cicéron avaient déjà reconnue. Imposer l'inégalité veut dire transcender la quantité, veut dire admettre la qualité. C'est ici que se distinguent nettement les concepts d'individu et de personne.
Auteur:
Evola Julius
Années: 1898 - 1974
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: philosophe, penseur de droite
Continent – Pays: Europe - Italie
Info:
Les Hommes au milieu des ruines
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dissemblances
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indispensables
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inévitables
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teintes
- Résumons : six couleurs de base, cinq demi-couleurs en comptant le gris... Ensuite ?
- Pendant longtemps, le vocabulaire n'a probablement pas eu beaucoup d'autres termes. On percevait bien des nuances, mais on n'avait guère besoin de les nommer dans le langage courant. Onze couleurs, avec toutes les combinaisons possibles, c'est déjà beaucoup ! Ensuite, entre dans un troisième groupe, le domaine des nuances, que l'on obtient soit en associant deux termes de couleurs (gris-bleu, rose-orangé), soit en fabriquant des mots. Grande différence : les nuances, elles, ne sont pas porteuses de symboles. Elles n'ont qu'une signification esthétique : si le violet a une symbolique, la nuance lilas n'en a pas. Leur identité est aussi plus imprécise : "lilas" désigne chez nous une couleur bleu pâle ; chez les allemands, c'est un violet soutenu qui tire vers le rouge.
Auteur:
Pastoureau Michel
Années: 1947 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: historien médiéviste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Le petit livre des couleurs
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dissemblances ethniques
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linguistique
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peuple
Deuxième surprise pour le visiteur, il observe cette attitude américaine heureuse et positive face à la vie. Sur les photographies, on remarque ce sourire des êtres, symbole d’une des principales forces des Américains. Il s’annonce aimable, conscient de sa valeur, optimiste et sans envie, alors que l’Européen estime les contacts avec les Américains innocents et agréables.
En revanche, l’Européen montre de l’esprit critique, une conscience forte de lui, une absence de générosité et d’entraide, il exige beaucoup de ses divertissements et ses lectures, par rapport aux Américains. Mais au bout du compte, il se révèle assez pessimiste.
L’agrément de la vie, le confort, tiennent une place importante aux États-Unis. On leur sacrifie de la fatigue, du souci et de la tranquillité. L’Américain vit davantage pour un but précis et pour l’avenir que l’Européen. La vie pour lui se présente comme un devenir, non comme un état. En ce sens, il est radicalement dissemblable du Russe et de l’Asiatique plus encore que de l’Européen.
Auteur:
Einstein Albert
Années: 1879 - 1955
Epoque – Courant religieux: industriel
Sexe: H
Profession et précisions: scientifique, physicien
Continent – Pays: Europe - Usa
Info:
"Comment je vois le monde", traduction de l’allemand par Maurice Solovine et Régis Hanrion, Flammarion, 2017, pages 170
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description
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dissemblances
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