Les fils de la pensée

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Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>

Nuage de corrélats

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Résultat(s): 9

Temps de recherche: 0.0243s

refuge

Pour moi le sport est une fuite de la réalité.

Auteur: Széchy Tamás

Info: dépense physique

[ dépense physique ]

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compensation

Consommer pour combler un vide tellement profond qu'il donne le vertige.

Auteur: Filteau-Chiba Gabrielle

Info: Encabanée

[ dépenser contrepartie ]

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miguel

24.03.2024

(FLP) - Merci de mettre des tags-balises sur cet extrait, en suivant le prompt C afin d'en extirper le sens pur et la logique sémantique la plus brute possible. (Gemini) - Catégorie générale : Psychologie Balises : Comblement, Vide, Vertige, Manque, Consommation, Fuite Explication des balises : Comblement et Vide sont les deux mots clés de l'extrait. Ils décrivent l'idée centrale de combler un manque par la consommation. Vertige est un synonyme de Vide qui souligne l'intensité du sentiment de manque. Manque est un synonyme plus générique de Vide qui met l'accent sur l'absence de quelque chose. Consommation est le moyen utilisé pour combler le vide. Fuite est un synonyme de Consommation qui souligne l'aspect négatif de l'acte de consommer pour combler un manque. Logique sémantique : La logique sémantique de l'extrait est la suivante : Il existe un vide (ou un manque) tellement profond qu'il donne le vertige. La consommation est utilisée pour combler ce vide. La consommation est une fuite qui ne peut combler le vide que de manière temporaire. Remarque : Il est important de noter que ces balises ne sont qu'une interprétation possible de l'extrait. D'autres interprétations sont possibles, en fonction du contexte et de la perspective de l'analyste. (FLP) - OK merci. A) - Peux-tu étiqueter cet extrait en suivant les prompts A et B ? (Gemini) - A) Étiquetage selon la logique tétravalente Vrai : 3 (apparemment oui) Faux : 4 (peut-être) Vrai et faux : 5 (plutôt oui) Non vrai et non faux : 2 (plutôt non) Justification : L'extrait affirme que la consommation peut combler un vide. Cette affirmation n'est pas nécessairement vraie pour tout le monde et dans toutes les situations. Il est possible que la consommation ne comble pas le vide, ou qu'elle ne le comble que temporairement. L'extrait affirme que le vide est tellement profond qu'il donne le vertige. Cette affirmation est subjective et difficile à vérifier. Il est possible que le vide ne soit pas si profond pour tout le monde. L'extrait mélange les notions de vrai et de faux. Il affirme que la consommation peut combler un vide, mais il ne précise pas si ce vide est réel ou imaginaire. Il est possible que le vide soit une réalité pour certaines personnes, mais une simple perception pour d'autres. L'extrait manque d'informations concrètes sur la nature du vide et sur la manière dont la consommation peut le combler. Il est possible que le vide soit une réalité non dimensionnelle, comme l'âme ou les sentiments, et que la consommation ne puisse pas le combler. B) Étiquetage selon la triade du vrai Vrai sémantiquement : 4 (peut-être) Vrai pragmatiquement : 3 (apparemment oui) Vrai ontologiquement : 2 (plutôt non) Justification : Vrai sémantiquement : L'extrait est grammaticalement correct et les mots ont un sens clair. Cependant, la phrase est ambiguë et peut être interprétée de différentes manières. Vrai pragmatiquement : L'idée que la consommation peut combler un vide est courante dans la société de consommation. Cependant, il n'y a pas de preuve scientifique que la consommation peut combler un vide existentiel. Vrai ontologiquement : L'extrait ne fait aucune référence à des notions de vie, de mort, d'évolution ou de théologie. Il est donc difficile de dire s'il est vrai ontologiquement. Conclusion : L'extrait est difficile à étiqueter de manière précise car il est ambigu et subjectif. Il est possible de l'interpréter de différentes manières, selon les propres convictions et expériences de chacun.

Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

bipolarité

L'homme avare n'a jamais l'argent. Le prodigue n'en aura plus sous peu.

Auteur: Johnson Ben

Info:

[ argent ] [ dépenser ]

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coeur

On gagne sa vie avec ce qu'on obtient, on la fait avec ce qu'on donne.

Auteur: Churchill Winston

Info:

[ dépenser ] [ risquer ]

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gaspillage

Un feu d'artifice, n'était-ce pas le symbole même du luxe inutile, de la fortune dissipée en fumée pour le plaisir de quelques minutes ?...

Auteur: Tournier Michel

Info: Le médianoche amoureux

[ dépense ]

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posséder

La richesse est comme les poils du nez, si on en arrache beaucoup ça fait mal, si on en arrache un peu ça fait mal aussi.

Auteur: Proverbe malgache

Info:

[ dépenser ]

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économies

L’homme riche, dans la société capitaliste, ne sait pas utiliser son argent pour ce qui est le plus utile : pour ne pas avoir à y penser.

Auteur: Gomez Davila Nicolas

Info: Dans "Le réactionnaire authentique" page 131

[ dépense intelligente ] [ fuite en avant ]

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Ajouté à la BD par Coli Masson

maturité

Une fois passés les quarante ans... le monde ressemble à de l'eau glissant sur le dos d'un canard. Passé quarante ans vous réalisez que la vie est là pour être gaspillée.

Auteur: Dyer Geoff

Info:

[ vivre ] [ jouir ] [ profiter ] [ dépenser ]

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sport

Courir le rendait heureux, à tout le moins le soulageait, et épargnait aux autres son agitation infernale et son despotisme. Courir, dans la merveilleuse odeur des feuilles, dans les exhalaisons d’écorce. Briser les petites branches sur le sentier, sentir glisser son pied sur la boue quand la pente se fait plus forte. Le plaisir des premiers essoufflements qui font trembler la voix dans le martèlement irréversible de la foulée. Le danger joyeux du rire qui risque de ralentir la course. Se sentir emporté en avant, aspiré par le vide qu’on crée devant soi. Sentir la chaleur de son visage épouser la fraîcheur des brumes, et ses cheveux coller aux tempes. Les nuances des labours, l’immensité de la Flandre. Apercevoir de fines haleines à sang chaud monter du sol, d’entre les taillis morts. Bombés, les chemins pavés. Le revers des maisons, et leurs petites cours qu’on ne voit autrement que du train. Trébucher, le regard perdu dans les glèbes molles ou les ornières gelées, sur toutes les surprises et les brusqueries malicieuses du paysage, qui désagrégèrent les petites meutes de coureurs et en dissipent la chaleur organique. Les bifurcations qu’il ne faut pas manquer, où le chemin s’engouffre sous les arbres et oblige à courir l’un derrière l’autre. L’allure qui se tend, le pouls qui s’étrangle et se fait bruyant. Ne pas céder sa place, s’imposer du coude, en riant puis sans rire. N’accorder de larmes qu’à la vitesse et à l’air froid.

À la bouche, le gout ferreux du sang.

Toute mélancolie bue, le versant féroce de la joie.

Le sentiment époumoné de sa supériorité.

Auteur: Haralambon Olivier

Info: Le versant féroce de la joie

[ dépense physique ]

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