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femmes-par-homme

Femmes, longs vases entrouverts, grands enfants chauds.

Auteur: Morand Paul

Info:

[ ressenties ] [ décrites ] [ femmes-hommes ]

 

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femmes-hommes

La femme remonte à la plus haute antiquité. Elle est coiffée d'un chignon. C'est elle qui reçoit le facteur, qui reprise les chaussettes et fait le catéchisme aux enfants. Elle se compose essentiellement d'un chignon et d'un sac à main. C'est par le sac à main qu'elle se distingue de l'homme.

Auteur: Vialatte Alexandre

Info:

[ femmes-par-homme ] [ décrites ] [ humour ]

 

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entité autonome

...bien qu'il n'y ait qu'une seule pure priméité, on en trouve d'impures (ou pseudo Primans), tout comme des pseudo Secundans. Par exemple, une monade Leibnizienne est représentée comme  tout ce qu'elle est en elle-même, par elle-même et pour elle-même. Mais c'est contradictoire. Si la monade n'était véritablement que pour elle-même, on ne pourrait en avoir plus de conception que celle de la vie intérieure d'un galet sur la plage. Ce ne serait simplement rien pour nous. Je dis donc que la monade possède une Priméité "imputée", ou qu'elle est pseudo-priman. Elle est représentée comme étant de l'ordre de la priméité ; mais, en tant que représentation, elle est en réalité une tiercité.

Auteur: Peirce Charles Sanders

Info: Letters to Mario Calderoni, 1905, Manuscript, MS [R] L67:29-30. From the Robin Catalogue

[ décrite ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

art pictural

D’une matité scintillante, la blancheur de ces seins menus sans être maigres se perdait dans le voile bleuté, pleine de naturel ; elle était visiblement peinte avec âme et, en dépit d’une certaine suavité qui s’en dégageait, l’artiste avait su lui conférer une sorte de réalité scientifique et de précision vivante. Il s’était servi de l’aspect grenu de la toile en le faisant passer pour l’irrégularité naturelle de l’épiderme, sous la peinture à l’huile, notamment dans la région des clavicules légèrement saillantes. Un grain de beauté n’avait pas été omis à gauche, à la naissance des deux seins, et, entre leurs éminences, on croyait voir transparaître des veines à peine bleutées. On eût dit que, sous les yeux du spectateur, un imperceptible frisson de sensibilité passait sur cette nudité. Disons-le tout cru : on pouvait s’imaginer percevoir la transpiration, l’invisible exhalaison vivante de cette peau, et, en y appliquant les lèvres, sentir l’odeur du corps humain et non celle de la couleur et du vernis.


Auteur: Mann Thomas

Info: La Montagne magique

[ mis en texte ] [ peinture décrite ]

 

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Ajouté à la BD par miguel