Citation
Catégorie
Tag – étiquette
Auteur
Info



nb max de mots
nb min de mots
trier par
Dictionnaire analogique intriqué pour extraits. Recherche mots ou phrases tous azimuts. Aussi outil de précision sémantique et de réflexion communautaire. Voir la rubrique mode d'emploi. Jetez un oeil à la colonne "chaînes". ATTENTION, faire une REINITIALISATION après  une recherche complexe. Et utilisez le nuage de corrélats !!!!..... Lire la suite >>
Résultat(s): 12
Temps de recherche: 0.0405s

malheur

Les portes de l'enfer sont toujours ouvertes même à minuit.

Auteur: Proverbe slovaque

Info:

[ possible ] [ constant ]

 

Commentaires: 0

moteur

L'imperfection de la vie est le cœur de la vie même.

Auteur: Avallone Silvia

Info: Marina Bellezza

[ constant rééquilibrage ] [ existence funambule ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

danger

Ce qui est encore dans la rivière, n'est pas sauvé de la gueule du crocodile.

Auteur: Proverbe africain congolais

Info: Dicton bakongo

[ permanent ] [ constant ]

 

Commentaires: 0

ouverture

Notre perspective est toujours limitée par ce que nous savons. Élargissez vos connaissances et vous transformerez votre esprit. 

Auteur: Lipton Bruce H.

Info:

[ constant apprentissage ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

être humain

L’homme, et c’est là sa définition la plus juste, peut être considéré comme un certain concept intellectuel éternellement créé dans l’esprit divin.

Auteur: Erigène Jean Scot

Info:

[ création constante ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

esprit

Dans le monde réel, il n'y a pas d'opposition entre nature et culture/éducation, seulement une interaction infiniment complexe et constante entre effets environnementaux et génétiques.

Auteur: Mate Gabor

Info:

[ superfétatoire ] [ âme superflue ] [ dialogue constant ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

télétravail

Ainsi l’utopie californienne de la dissolution cybernétique de la métropole tertiaire : le travail distribué à domicile par ordinateur. Pulvérisation du travail dans tous les pores de la société et de la vie quotidienne. Non seulement la force de travail mais l’espace-temps du travail cesse d’exister : la société ne constitue plus qu’un seul continuum du processus de la valeur. Le travail est devenu le mode de vie.

Auteur: Baudrillard Jean

Info: Dans "L'échange symbolique et la mort", éditions Gallimard, 1976, page 381

[ privé-professionnel ] [ ininterruption ] [ employabilité constante ]

 
Mis dans la chaine

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par Coli Masson

béatitude inaccessible

Comme cependant tout homme a une certaine idée de la valeur, sans néanmoins pouvoir réaliser ou voir se réaliser entièrement cette idée, il n’y a pas d’hommes heureux. Seules les femmes sont heureuses. Aucun homme n’est heureux car chacun sait dans une certaine mesure ce qu’est la liberté tout en vivant d’une manière ou d’une autre en esclavage sur terre. Seul un être entièrement passif comme la femme véritable, ou un être entièrement actif comme Dieu peut connaitre le bonheur. Le sentiment du bonheur est le sentiment de la perfection, et l’homme à la différence de la femme, ignore ce sentiment. L’homme a toujours derrière lui des problèmes, devant lui des devoirs, les problèmes ayant leur origine, les devoirs pour domaine l’avenir. Pour la femme le temps n’a ni orientation, ni sens. Aucune femme ne se pose la question de savoir quel est le but de sa vie, et cela alors même que l’univocité du temps n’est que l’expression du fait que cette vie peut et doit avoir un sens. Le bonheur ne saurait consister pour l’homme que dans l’activité, c’est-à-dire dans la liberté, et le sentiment de la faute va s’aggravant chez lui à mesure que s’avance l’idée de liberté. La vie sur terre est pour lui une souffrance ne serait-ce que parce que dans la sensation l’être humain est passif, qu’il ne peut en général s’empêcher d’être affecté, que l’expérience ne comporte pas seulement une forme, mais une matière. Aucun homme ne peut se passer de la perception, pas plus l’homme de génie que les autres, qui ne serait rien sans elle, même s’il parvient mieux que personne à y faire rentrer aussitôt tout le contenu de son moi et à l’en nourrir, et à moins besoin d’induire pour atteindre à l’idée d’une chose.

Auteur: Weininger Otto

Info: sexe et caractère (1903, 294 p.) p.232, éditions l'âge d'homme, 2012.

[ impossibilité ] [ individus ] [ archétypes ] [ douleur constante ] [ responsabilité ]

 
Commentaires: 3

interactions continues

En bref, la relation au monde ne saurait se définir en soi par le type d’activités ou les domaines d’objets qu’elle met en jeu, mais seulement par l’attitude au monde et l’expérience du monde qu’elle implique. La formation et le maintien ou non d’axes de résonance constitutifs dépendent premièrement des dispositions (physiques, biographiques, émotionnelles, psychiques et sociales) du sujet, deuxièmement de la configuration institutionnelle, culturelle, contextuelle et physique des fragments de monde en jeu et troisièmement, du type de relation existant entre entre les deux. Même les fragments de monde tendanciellement inhospitaliers et hostiles tels les déserts, les paysages enneigés ou les stations-service peuvent devenir, sous certaines conditions, de véritables oasis de résonance. L’aliénation, comprise comme relation au monde muette, froide, figée ou en échec, est dès lors le résultat d’une subjectivité dégradée, de configurations sociales ou matérielles hostiles à la résonance ou bien d’une inadéquation, c’est-à-dire d’un défaut d’ajustement entre le sujet et le fragment de monde. C’est dire que la sociologie de la relation au monde que je propose ici vise à dépasser le problème des essentialisations infondées : point n’est besoin de formuler une hypothèse substantialiste sur l’essence véritable de la nature humaine afin de pouvoir se prononcer sur la réussite ou la non-réussite de la vie. Admettons plutôt que cette essence est tout aussi changeante que l’organisation et l’orientation sociales et culturelles du monde. Les relations au monde doivent ainsi être considérées comme des configurations globales historiquement et culturellement variables, qui ne définissent pas seulement un certain rapport entre un sujet et un objet, mais coproduisent elles-mêmes, de facto, ces sujets et ces objets. La sociologie des relations au monde entreprise ici se présente donc comme une critique des rapports de résonance historiquement réalisés – et par là même, du moins je l’espère, comme une forme renouvelée de la Théorie critique.

Auteur: Rosa Hartmut

Info: Résonance. Une sociologie de la relation au monde, pp 23, 24

[ constante adaptabilité ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

sciences

Mu: une constante fondamentale qui reste constante.
L'idée que les constantes fondamentales ne le soient pas réellement et dépendent de l'espace et du temps perturbe depuis longtemps l'esprit des physiciens. Mais, en observant la façon dont une galaxie lointaine absorbe la lumière d'un quasar, des chercheurs australiens viennent de déterminer une nouvelle limite sur l'évolution de l'une d'entre elles, Mu (µ), ratio entre les masses de l'électron et du proton, en fonction du temps. Leur résultat, qui est 10 fois plus précis que les mesures précédentes, confirme la compréhension scientifique actuelle de la physique.
Les scientifiques ont utilisé la lumière d'un quasar pour montrer qu'une des constantes fondamentales de la physique est très probablement restée constante à travers l'histoire de l'univers
Les constantes principales sont très finement ajustées à notre existence (ou vice-versa !) ; si l'interaction forte était ne serait-ce qu'un pour cent plus intense qu'elle ne l'est aujourd'hui, par exemple, le carbone ne pourrait pas être produit dans les étoiles, et nous ne serions pas là pour en parler. C'est une des raisons pour lesquelles de nombreux physiciens sont désireux de vérifier si certaines constantes fondamentales ont varié au cours de l'histoire de l'univers. L'une d'elles est µ, le ratio entre la masse de l'électron et celle du proton.
Habituellement, cette constante peut être calculée en analysant les données d'un télescope terrestre pointé sur un quasar, le noyau compact mais très lumineux d'une jeune galaxie, sorte de "phare" dans l'espace profond. Le spectre de la lumière des quasars couvre un large intervalle de longueurs d'onde, mais certaines d'entre elles peuvent être absorbées par des molécules situées au sein de galaxies plus anciennes lors du trajet de la lumière à travers le cosmos. Ces longueurs d'onde, apparaissant comme des raies d'absorption, correspondent à des molécules "excitées" à des niveaux plus élevés d'énergie et sont régies par µ. Comme la lumière des quasars peut mettre des milliards d'années pour parvenir sur Terre, la valeur de µ mesurée à partir de ces sources éloignées peut être comparée à sa valeur mesurée dans une expérience de laboratoire. On détermine ainsi si sa valeur s'est modifiée au cours du temps.
Victor Flambaum et Michael Kozlov, de l'université de Nouvelle Galle du Sud en Australie, ont rendu la technique plus précise en y incorporant l'analyse d'un "spectre d'inversion", produit quand les atomes des molécules absorbent la lumière et atteignent un niveau d'énergie plus élevé par effet tunnel. Comme la probabilité de l'effet tunnel dépend plus étroitement de µ que les raies d'absorption dans le spectre habituel, des variations de cette constante peuvent en être déduites plus précisément.
Flambaum et Kozlov ont utilisées des données existantes du radiotélescope d'Effelsberg en Allemagne concernant la lumière issue d'un quasar et traversant la galaxie B0218+357 à 6.5 milliards d'années-lumière de la terre, et ont analysé les deux types de spectres pour des molécules d'ammoniaque et d'autres comme celles d'oxyde de carbone. Ils ont ensuite comparé les spectres à ceux d'expériences actuelles de laboratoire et ont constaté que µ ne pouvait pas avoir diminué de plus de 4e-16, ni ne pouvait pas avoir augmenté de plus de 2e-16 par an ce qui représente une évaluation dix fois plus précise que les meilleures estimations antérieures.
L'année dernière un groupe, conduit par Wim Ubachs de l'université d'Amsterdam, avait trouvé, en utilisant la technique plus ancienne, que µ avait pu diminuer avec le temps. Si cela s'était confirmé, cela aurait signifié que les théories les plus fondamentales de la physique, comme celle de la relativité, auraient dû être reconsidérées. Flambaum a indiqué, cependant, que ses propres résultats, plus précis, prouvaient qu'il était peu probable que µ ait varié au cours du temps, et qu'ainsi notre compréhension actuelle de la physique était bonne. Le scientifique a ajouté que si plus de données pouvaient être rassemblées, sa technique d'analyse devrait permettre aux théoriciens de déterminer encore plus précisément les non-variations de µ.

Auteur: Internet

Info:

[ constantes ]

 

Commentaires: 0