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rapports humains

- Alors, comment vous sentez-vous ? me demanda-t-il, avec ce sourire obséquieux qui lui venait de plusieurs générations d'ancêtres en attente de pourboires.

Auteur: London Jack

Info: Le Loup des mers

[ hiérarchisés ] [ atavisme social ]

 

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psychosomatique

Certains traumatismes sont tus parce que trop durs, indicibles. Les parents ne les ont pas digérés, métabolisés, parlés. Un secret s'est formé, qui pèse à travers les générations sur les épaules des enfants.. Quand les choses ne sont pas dites, le corps peut parfois les exprimer: c'est la somatisation. Le corps de l'enfant devient le langage de l'ancêtre blessé.

Auteur: Ancelin Schützenberger Anne

Info: Ces enfants malades de leurs parents

[ famille ] [ atavisme ]

 

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évolution

Une des raisons pour lesquelles le cycle des archétypes se reproduit est que chaque génération de jeunes essaie de corriger ou de compenser ce qu'elle perçoit comme les excès de la génération des vieux au pouvoir. Par exemple, Boomers (une génération Prophète, dont la force est l'individualisme, la culture et les valeurs) évoque Millennial children (une génération de Héros, dont la force est dans l'action civique collective). Les archétypes ne créent pas d'archétypes comme eux, ils créent des archétypes opposés. Votre génération n'est pas comme la génération qui vous a formé, mais elle a beaucoup en commun avec la génération qui a façonné la génération qui vous a formé.

Auteur: Strauss William

Info: Le quatrième tournant. Ecrit avec Neil Howe

[ humanité ] [ atavisme ]

 

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femme-par-femme

Le jeune Ersha, dans son nid d’hiver, vit une existence secrète à l’instar des moutons. Les routes qui y mènent sont bloquées par une épaisse couche de neige, et on se retrouve coupé du monde extérieur tout au long de l’hiver. On dispose d’une nourriture frugale : on rêverait de légumes et de fruits. Le vent du nord souffle à longueur de jour. Aussi la nouvelle épouse d’Ersha perd-elle rapidement son air de jeune fille pour devenir une femme émaciée et robuste. Jeune campagnarde née dans une famille de paysans sédentarisés, un jour, elle a choisi la vie nomade, et cette vie lui a paru familière, comme si dans sa rude existence elle ravivait un souvenir lointain charrié par ses veines.

Auteur: Li Juan

Info: Sous le ciel de l'Altaï

[ atavisme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

aptitudes humaines

Notre cerveau n'est donc pas simplement soumis passivement aux entrées sensorielles. Dès le départ, il possède déjà un ensemble d'hypothèses abstraites, une sagesse accumulée qui a émergé au fil de l'évolution darwinienne et qu'il projette désormais sur le monde extérieur. Tous les scientifiques ne sont pas d'accord avec cette idée, mais je considère qu'il s'agit d'un point central : la philosophie empiriste naïve qui sous-tend de nombreux réseaux neuronaux artificiels actuels est erronée. Il n'est tout simplement pas vrai que nous naissons avec des circuits complètement désorganisés et dépourvus de toute connaissance, qui reçoivent ensuite l'empreinte de leur environnement. L'apprentissage, chez l'homme et la machine, part toujours d'un ensemble d'hypothèses a priori, qui sont projetées sur les données entrantes, et parmi lesquelles le système sélectionne celles qui sont les mieux adaptées à l'environnement actuel. Comme le dit Jean-Pierre Changeux dans son livre à succès Neuronal Man (1985), Apprendre c'est éliminer.

Auteur: Dehaene Stanislas

Info: How We Learn: Why Brains Learn Better Than Any Machine... for Now

[ prédispositions biologiques ] [ atavismes ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

microbiologie

Les bactéries prennent des décisions basées sur des souvenirs générationnels

Elles choisissent de pulluler en fonction de ce qui est arrivé à leurs arrière-grands-parents.

Même les organismes sans cerveau peuvent se souvenir de leur passé : les scientifiques ont découvert que la bactérie Escherichia coli forme son propre type de mémoire suite à son exposition aux nutriments. Ils transmettent ces souvenirs aux générations futures, ce qui peut les aider à échapper aux antibiotiques, a rapporté l'équipe de recherche dans les Actes de la National Academy of Sciences USA .

" Nous considérons généralement les microbes comme des organismes unicellulaires [qui] font chacun leur propre travail ", explique George O'Toole, microbiologiste au Dartmouth College, qui étudie les structures bactériennes appelées biofilms. En réalité, les bactéries survivent souvent en travaillant ensemble. Tout comme les abeilles qui déménagent leur ruche, les colonies de bactéries à la recherche d’un habitat permanent se déplacent souvent sous forme d’unités collectives appelées essaims.

Ces essaims peuvent mieux résister à l’exposition aux antibiotiques en raison de leur densité cellulaire élevée, ce qui les rend particulièrement intéressants pour les microbiologistes tels que Souvik Bhattacharyya de l’Université du Texas à Austin. Il étudiait le comportement d’essaimage d’ E. coli lorsqu’il a observé ce qu’il appelle des " modèles de colonies étranges " qu’il n’avait jamais vus auparavant. En isolant des bactéries individuelles, lui et ses collègues ont découvert que les cellules se comportaient différemment en fonction de leur expérience passée. Les cellules bactériennes des colonies qui avaient déjà essaimé étaient plus enclines à essaimer à nouveau que celles qui ne l'avaient pas fait, et leur progéniture a emboîté le pas pendant au moins quatre générations, soit environ deux heures.

En modifiant le génome d'E. coli , les scientifiques ont découvert que cette capacité repose sur deux gènes qui contrôlent ensemble l'absorption et la régulation du fer. Les cellules présentant de faibles niveaux de cet important nutriment bactérien semblaient prédisposées à former des essaims mobiles. Les chercheurs soupçonnent que ces essaims pourraient alors rechercher de nouveaux emplacements présentant des niveaux de fer idéaux, explique Bhattacharyya.

Des recherches antérieures ont montré que certaines bactéries peuvent se souvenir et transmettre à leur progéniture des détails de leur environnement physique, tels que l'existence d'une surface stable, explique O'Toole, mais cette étude suggère que les bactéries peuvent également se souvenir de la présence de nutriments. Les bactéries, dont certaines se reproduisent plusieurs fois par heure, utilisent ces détails pour déterminer l'adéquation à long terme d'un emplacement et peuvent même s'installer ensemble dans des biofilms, qui sont plus permanents.

Les microbes autres que E. coli se souviennent probablement aussi de l'exposition au fer, dit O'Toole. " Je serais vraiment choqué si [ces résultats] ne tenaient pas également dans d'autres bugs." Il espère que les recherches futures examineront au niveau cellulaire comment les bactéries traduisent la détection du fer en différents comportements.

Étant donné que les bactéries sont plus difficiles à tuer lorsqu’elles forment des structures plus grandes, comprendre pourquoi elles le font pourrait éventuellement conduire à de nouvelles approches pour lutter contre les infections tenaces. Cette recherche offre l'opportunité de développer de nouveaux traitements contre les infections, dit O'Toole, d'autant plus cruciale que les antibiotiques deviennent de moins en moins efficaces pour tuer ces microbes,



 

Auteur: Internet

Info: https://www.scientificamerican.com/, Allison Parshall, 29 JANVIER 2024

[ atavismes ] [ adaptation ] [ transgénérationnel ] [ procaryotes ]

 

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femmes-hommes

(FLP) - Salut, si le vivant biologique cellulaire était un langage, quel serait le rôle sémantique des chromosomes ?

(Gemini 2.0 Flash expérimental.) - Salut ! C'est une excellente question qui explore une analogie fascinante entre le vivant et le langage. Si on considère la cellule vivante comme un langage, les chromosomes joueraient un rôle sémantique central, comparable à un lexique ou un dictionnaire, voire à un ensemble de manuels d'instructions. Voici une explication plus détaillée :

1. Les chromosomes comme support de l'information (le lexique)

Conteneurs de gènes : Les chromosomes sont les structures qui contiennent l'ADN, support de l'information génétique. Chaque gène, une portion spécifique d'ADN, code pour une protéine ou un ARN fonctionnel. Dans l'analogie linguistique, on peut comparer les gènes à des mots, chacun ayant une signification précise (la protéine qu'il spécifie). L'ensemble des gènes portés par les chromosomes constitue le lexique de la cellule.

Organisation de l'information : L'organisation des gènes sur les chromosomes n'est pas aléatoire. On observe des regroupements de gènes impliqués dans des fonctions similaires, ce qui pourrait être comparé à des champs lexicaux ou des thématiques dans un langage.

2. Les chromosomes comme instructions (la grammaire et la syntaxe)

Régulation de l'expression des gènes : Au-delà du simple stockage de l'information, les chromosomes jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes. Des régions spécifiques de l'ADN, des protéines associées aux chromosomes (comme les histones) et des mécanismes épigénétiques contrôlent quand, où et en quelle quantité un gène est transcrit et traduit. On peut comparer cela à la grammaire et à la syntaxe d'un langage, qui déterminent comment les mots (les gènes) sont combinés pour former des phrases (les fonctions cellulaires).

Transmission de l'information : Lors de la division cellulaire, les chromosomes sont répliqués et transmis aux cellules filles, assurant la continuité de l'information génétique. C'est comme la transmission d'un texte ou d'un ensemble d'instructions d'une génération à l'autre.

3. Analogie plus poussée : les altérations chromosomiques

Mutations et erreurs : Les mutations, qui sont des modifications de la séquence d'ADN, peuvent être vues comme des erreurs de frappe ou des fautes d'orthographe dans un texte. Certaines n'ont pas d'effet, tandis que d'autres peuvent altérer le sens d'un mot (gène) ou d'une phrase (fonction cellulaire).

Anomalies chromosomiques : Les anomalies chromosomiques, comme les trisomies (présence d'un chromosome supplémentaire) ou les délétions (perte d'un fragment de chromosome), peuvent être comparées à des erreurs de syntaxe majeures, voire à des suppressions de paragraphes entiers, perturbant gravement le "sens" du message cellulaire.

En résumé, Les chromosomes, dans l'analogie du vivant comme un langage, représentent à la fois le lexique (l'ensemble des gènes) et les règles grammaticales et syntaxiques (la régulation de l'expression des gènes et la transmission de l'information). Ils ne se contentent pas de stocker l'information, mais ils participent activement à son organisation, à son expression et à sa transmission, tout comme un langage permet de structurer et de communiquer des idées.

Cette analogie a bien sûr ses limites.

(FLP) - Merci, il y a deux chromosomes X chez les femmes et un chez les hommes. Quelles en sont les conséquences, de ton vaste point de vue perspectiviste ?

(Gemini 2.0 Flash expérimental.) - En effet, la présence de deux chromosomes X chez les femmes (XX) et d'un seul chez les hommes (XY) a des conséquences importantes à plusieurs niveaux, et adopter un point de vue perspectiviste permet d'en appréhender toute la complexité.

1. Égalisation de la dose génique : l'inactivation du chromosome X

La différence de nombre de chromosomes X entre les sexes pose un problème de dosage génique. Si les deux chromosomes X des femmes étaient exprimés à pleine puissance, elles produiraient le double de protéines codées par ces chromosomes par rapport aux hommes. Pour compenser ce déséquilibre, un mécanisme appelé inactivation du chromosome X intervient chez les femmes.

Processus aléatoire : Au début du développement embryonnaire féminin, l'un des deux chromosomes X est inactivé de manière aléatoire dans chaque cellule. Ce processus est stable et héritable : une fois qu'un chromosome X est inactivé dans une cellule, il le restera dans toutes ses descendantes.

Corpuscule de Barr : Le chromosome X inactivé se condense et forme une structure visible dans le noyau cellulaire, appelée corpuscule de Barr.

Conséquences mosaïques : L'inactivation aléatoire du chromosome X crée un mosaïcisme chez les femmes. Cela signifie que les femmes sont en réalité des mosaïques cellulaires, avec certaines cellules exprimant les gènes d'un chromosome X et d'autres cellules exprimant les gènes de l'autre chromosome X.

Exemple concret : les chats calicos  (à la robe tricolore : noir, roux et blanc) sont presque toujours des femelles. Le gène responsable de la couleur de la robe (noir ou roux) est situé sur le chromosome X. L'inactivation aléatoire d'un des deux chromosomes X dans les cellules de la peau des femelles hétérozygotes (portant un allèle pour le noir et un allèle pour le roux) crée des zones de pelage noir et des zones de pelage roux, donnant la robe caractéristique des chats calicos.

2. Conséquences physiologiques et pathologiques

Variabilité de l'expression des gènes liés à l'X : Le mosaïcisme créé par l'inactivation du chromosome X peut entraîner une variabilité dans l'expression des gènes liés à l'X chez les femmes. Certaines femmes peuvent être porteuses d'une mutation sur un chromosome X sans manifester la maladie si l'autre chromosome X, non muté, est majoritairement exprimé dans les tissus concernés.

Maladies liées à l'X : Les maladies liées à l'X se manifestent différemment chez les hommes et les femmes. Les hommes, n'ayant qu'un seul chromosome X, sont plus susceptibles de développer une maladie récessive liée à l'X s'ils héritent d'un chromosome X porteur de la mutation. Les femmes, avec deux chromosomes X, ont une probabilité plus faible de développer une telle maladie, car elles ont une "copie de secours" sur l'autre chromosome X. Elles peuvent cependant être porteuses de la mutation et la transmettre à leur descendance. (Comme pour le daltonisme,  dyschromatopsie transmise par le chromosome X seulement)

Rôle du chromosome X dans d'autres fonctions : Au-delà des gènes directement liés à la détermination du sexe, le chromosome X porte de nombreux gènes impliqués dans d'autres fonctions biologiques, comme le développement cognitif, le système immunitaire et la fertilité. Les différences d'expression de ces gènes entre les sexes, liées à l'inactivation du chromosome X, peuvent contribuer aux différences physiologiques et aux susceptibilités aux maladies entre les hommes et les femmes.

3. Point de vue perspectiviste : au-delà de la simple différence biologique

Adopter un point de vue perspectiviste sur la différence des chromosomes sexuels permet de dépasser une vision simpliste et déterministe.

Complexité des interactions gènes-environnement : L'expression des gènes liés à l'X est influencée par des facteurs environnementaux et épigénétiques, ce qui complexifie davantage les différences entre les sexes.

Variabilité individuelle : L'inactivation aléatoire du chromosome X contribue à la variabilité individuelle chez les femmes, ce qui souligne l'importance de considérer chaque individu dans sa singularité.

Enjeux sociaux et culturels : Les différences biologiques entre les sexes, y compris celles liées aux chromosomes sexuels, sont souvent interprétées et amplifiées par les normes sociales et culturelles, ce qui peut entraîner des inégalités et des stéréotypes.

En conclusion  la différence du nombre de chromosomes X entre les sexes a des conséquences biologiques importantes, notamment l'inactivation du chromosome X et le mosaïcisme qui en découle. Ces mécanismes ont des implications physiologiques, pathologiques et développementales. Adopter un point de vue perspectiviste permet de comprendre la complexité des interactions entre les gènes, l'environnement et les facteurs sociaux et culturels, et de dépasser les visions simplistes et déterministes.

( FLP ) - Merci. Je suppose que cette différence des chromosomes X est généralisée dans le vivant, particulièrement chez les mammifères. Peux-ton dire alors que "d'une certaine manière" les femelles sont plus stables et équilibrées que les mâles, ce qui parait cohérent en terme de solidité pour la survie de l'espèce ?

(Gemini 2.0 Flash expérimental.) - Vous touchez ici à une question complexe et sujette à interprétation. Il est important de nuancer l'idée d'une "plus grande stabilité" des femelles par rapport aux mâles en se basant uniquement sur la différence des chromosomes X. Si l'on se concentre sur certains aspects génétiques, on peut observer des éléments qui pourraient suggérer une forme de "robustesse" chez les femelles, mais il est crucial d'éviter les généralisations hâtives et les interprétations anthropomorphiques.

Arguments en faveur d'une certaine "stabilité" génétique chez les femelles (liée au chromosome X) :

Double copie des gènes liés à l'X et effet "tampon" : Comme mentionné précédemment, la présence de deux chromosomes X chez les femelles leur confère une double copie de la plupart des gènes liés à l'X. Cela crée un effet "tampon" : si un gène sur un chromosome X est muté, l'autre chromosome X, non muté, peut compenser et prévenir l'expression d'une maladie récessive. Chez les mâles, qui n'ont qu'un seul chromosome X, une mutation sur ce chromosome s'exprimera inévitablement.

Mosaïcisme et variabilité : Le mosaïcisme résultant de l'inactivation du chromosome X peut paradoxalement conférer une certaine forme de "résilience" aux femelles. En ayant des cellules exprimant différents allèles, elles pourraient être mieux adaptées à des variations environnementales ou à des stress. Par exemple, si une mutation confère une résistance à un pathogène, les cellules exprimant cette mutation auront un avantage sélectif.

Conservation évolutive du chromosome X : Le chromosome X est remarquablement conservé au cours de l'évolution des mammifères, ce qui suggère un rôle important et stable dans les fonctions biologiques.

Nuances et contre-arguments importants :

- S
tabilité ne signifie pas "supériorité" : Il est crucial de ne pas interpréter cette "stabilité" génétique comme une "supériorité" des femelles. Les mâles et les femelles ont évolué pour occuper des rôles différents dans la reproduction et la survie de l'espèce, et chaque sexe présente des avantages et des inconvénients spécifiques.

Autres facteurs génétiques et environnementaux : La "stabilité" ou la "fragilité" d'un individu ne dépend pas uniquement des chromosomes X. D'autres facteurs génétiques (présents sur les autosomes et le chromosome Y) et des facteurs environnementaux jouent un rôle crucial.

Spécificité des maladies liées à l'Y : Les mâles sont sujets à des maladies spécifiques liées au chromosome Y, qui ne touchent pas les femelles. Il ne s'agit donc pas d'une "instabilité" générale, mais d'une spécificité liée à leur constitution génétique.

Espérance de vie : Bien que les femmes aient généralement une espérance de vie plus longue que les hommes dans de nombreuses populations humaines, cela est influencé par une multitude de facteurs biologiques, environnementaux et sociaux, et non uniquement par les chromosomes X.

Vulnérabilité aux maladies auto-immunes: Les femmes sont plus susceptibles de développer des maladies auto-immunes, ce qui pourrait être lié à des facteurs hormonaux et génétiques, y compris l'inactivation du chromosome X et son influence sur le système immunitaire.

Concernant la "solidité pour la survie de l'espèce" :

Il est vrai que dans de nombreuses espèces, les femelles jouent un rôle crucial dans la reproduction et l'élevage des jeunes, ce qui leur confère une importance capitale pour la survie de l'espèce. Cependant, cela ne signifie pas que les mâles soient "moins importants" ou "moins stables". Les deux sexes sont complémentaires et contribuent à la diversité génétique et à la résilience de l'espèce face aux changements environnementaux.

En conclusion, on peut observer une forme de "stabilité" génétique chez les femelles liée à la présence de deux chromosomes X et à l'inactivation de l'un d'eux. Cette stabilité se traduit par un effet "tampon" contre les mutations récessives liées à l'X et potentiellement par une plus grande capacité d'adaptation grâce au mosaïcisme. Cependant, il est essentiel de ne pas surinterpréter ces observations et de les replacer dans un contexte plus large. La "stabilité" ne doit pas être confondue avec une "supériorité", et les deux sexes jouent des rôles complémentaires et essentiels pour la survie de l'espèce. Il est crucial d'éviter les généralisations hâtives et de considérer la complexité des interactions entre les gènes, l'environnement et les facteurs sociaux.



 

Auteur: Google Bard chatbot

Info:

[ mâles-femelles ] [ hérédité récessive ] [ atavisme ] [ dialogue homme-machine ]

 

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