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question

Que vaut un sang noble quand l'âme est vile ?

Auteur: Proverbe irakien

Info:

[ ascendance ]

 

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filiation

"Tigresse" dit Wen, "voici mon autre mère. Vous êtes mes deux mamans, celle de la forêt et celle du palais. Maintenant je dois retourner au palais pour apprendre ce que savent les princes. Mais je reviendrai souvent, car je ne veux pas oublier ce que savent les tigres."

Auteur: Chen Jiang Hong

Info: Le prince tigre de

[ ascendance ] [ contraste ]

 

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génétique

Une famille est faite d'une intrication de lignées dont les influences, transmises par le sang ou par l'éducation, s'opposent et se composent. Seule compte la ligne directe dans l'hérédité d'un germe mais l'héritage d'un milieu dépend d'autres facteurs que la transmission séminale des gènes. Le rôle des collatéraux y apparaît souvent considérable. Au sens le plus large le groupe familial n'est pas seulement une entité biologique, limitée aux consanguins ou parents par le sang, mais une entité sociale, englobant les affins ou parents par l'alliance. Aussi bien la généalogie proprement dite n'est-elle que l'assise d'une socio-biographie où la vie d'un individu est reliée à celle d'un ensemble génétiquement mais aussi socialement défini, donnée de culture autant que de nature.

Auteur: Delay Jean

Info: Avant mémoire

[ ascendance ] [ bipolarité ]

 

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platoniciens

La littérature grecque, dont la langue est célèbre entre tous les idiomes des nations, présente deux écoles philosophiques : l’italique qui doit son nom à cette partie de l’Italie, dite autrefois la grande Grèce, et l’ionienne, née dans ces contrées qu’on appelle encore aujourd’hui la Grèce. L’école italique a pour auteur Pythagore de Samos, qui, dit-on, créa ce mot de philosophie. Avant lui, on appelait sages les hommes qui semblaient avoir sur les autres la supériorité d’une vie à certains égards meilleure. Mais lui, interrogé sur sa profession, se déclara philosophe, c’est-à-dire partisan ou amateur de la sagesse ; car en afficher la profession lui paraissait le comble de l’arrogance. Le chef de l’école ionienne est Thalès de Milet, l’un des sept sages. Laissant les six autres se distinguer par la conduite de leur vie et quelques enseignements de morale, Thalès sonde la nature des choses et fonde sa renommée sur des écrits qui perpétuent sa doctrine. Ce qu’on admirait surtout en lui, c’est la science des calculs astrologiques qui lui faisait prédire les éclipses de soleil et de lune. Il crut cependant que l’eau était le principe des choses et des éléments du monde, et du monde lui-même et de tout ce que le monde produit ; et dans cette œuvre que la contemplation nous découvre partout si admirable, il ne fait intervenir aucune Providence divine. Anaximandre, l’un de ses auditeurs, lui succède sans adopter son système sur la nature des choses. Il n’admet pas avec Thalès qu’elles procèdent toutes de l’eau, d’un principe unique, il assigne à chacune son principe particulier. Il veut que ces principes soient infinis et engendrent une infinité de mondes avec tout ce qu’ils produisent. Il veut que ces mondes meurent et renaissent tour à tour, après avoir rempli les conditions de leur durée. Enfin, il ne donne aucune part à l’intelligence divine dans les révolutions de l’univers. Maître d’Anaximène, il le laisse son successeur. Celui-ci attribue les causes générales à l’air infini. Il ne nie point les dieux ; il en parle même. Et cependant, suivant lui, l’air n’est pas leur créature, ils sont les créatures de l’air. Son disciple Anaxagore pense qu’un esprit divin est l’auteur de tout ce que nous voyons ; qu’une matière infinie, formée d’atomes semblables, compose tous les êtres, chacun suivant son espèce et le mode de son existence, et toutefois en vertu de l’action divine. Diogène, autre disciple d’Anaximène, croit que l’air est la matière de toutes choses, mais il lui prête une raison divine sans laquelle il serait incapable de rien produire. Archelaos, disciple et successeur d’Anaxagore, professe les mêmes opinions sur les parties élémentaires des choses, et suivant lui, une intelligence qui préside à la composition et à la décomposition de ces parties, produit tous les phénomènes sensibles. Il eut pour disciple Socrate, maître de Platon, et c’est en vue de Platon que j’ai sommairement tracé ce récit.

Auteur: Saint Augustin Aurelius Augustinus

Info: La cité de Dieu, volume 1, traduction en latin de Louis Moreau (1846) revue par Jean-Claude Eslin, Editions du Seuil, 1994, pages 328-329

[ ascendance ] [ précédecesseurs ] [ origines ] [ résumé ] [ généalogie intellectuelle ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson