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jalon

Une rencontre, c'est quelque chose de décisif, une porte, une fracture, un instant qui marque le temps et crée un avant et un après.

Auteur: Schmitt Eric-Emmanuel

Info:

[ confrontation ] [ souvenir ] [ seuil ]

 

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principe de Peter

Un schlemihl* est un schlemihl. Que peut-on "y faire" ? Que peut-on faire de soi-même ? On atteint un point, et Profane savait qu'il l'avait atteint, où on sait tout ce qu'on peut ou ne peut pas faire. Mais de temps en temps, il avait des crises d'optimisme aigu.  

Auteur: Pynchon Thomas

Info: V. *personne maladroite et malchanceuse pour qui les choses ne tournent jamais bien : du yiddish.

[ seuil d'incompétence ] [ irrépressible ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

grandir

Vers la fin de l'été, j'ai surpris une conversation qui m'a tiré de ma bienheureuse ignorance. Lorsqu'on est enfant, on pense rarement à l'avenir. C'est cette innocence qui nous autorise à nous amuser, plaisir refusé à la plupart des adultes. Le jour où l'on pense à l'avenir est celui où l'on abandonne l'enfance.

Auteur: Rothfuss Patrick

Info: Chronique du tueur de roi, 1ère journée : Le Nom du vent

[ candeur ] [ seuil ]

 

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mourir

Mais au moment de la transition, vos guides, vos anges gardiens, les personnes que vous avez aimées et qui sont passées avant vous, seront là pour vous aider. Nous l'avons vérifié sans l'ombre d'un doute, et je le dis en tant que scientifique. Il y aura toujours quelqu'un pour vous aider dans cette transition.

Auteur: Kübler-Ross Elisabeth

Info: On Life After Death

[ psychopompes ] [ gardien du seuil ] [ alebrijes ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

cinéma

Le montage commence quand on ne sait pas comment on passe d'un plan à l'autre. L'ellipse - on coupe un peu dans le temps et le spectateur est censé comprendre ce qu'on a coupé - ce n'est pas encore vraiment du montage. Pour arriver au montage, il faut couper encore plus - qu'on ne sache pas pourquoi on passe d'un plan à l'autre. Alors, on obtient une certaine logique, la poésie.

Auteur: Pollet Jean-Daniel

Info: Entretien paru dans "Art-Press",n°145, mars 1990 - cité dans "Passage du cinéma", éd. Ansedonia, p.507

[ seuil ] [ assemblage ] [ enchaînement ] [ continuité ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama

alternatives indéfinies

Quand les possibilités de choix sont larges au point de nuire à l'utilité commune, les hommes n'ont pas la jouissance de la liberté. Car il leur faut, soit avoir recours au refuge de l'irresponsabilité, de la puérilité, de l'indifférence, refuge où ils ne peuvent trouver que l'ennui, soit se sentir accablés de responsabilité en toute circonstance par la crainte de nuire à autrui. En pareil cas les hommes, croyant à tort qu'ils possèdent la liberté et sentant qu'ils n'en jouissent pas, en arrivent à penser que la liberté n'est pas un bien.

Auteur: Weil Simone

Info: L'enracinement, Editions Gallimard, 1949, page 23

[ licence ] [ effet de seuil ] [ nuisance ] [ inversion ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

songe

Mais dans le rêve persan, Pauli se rend compte que cette "deuxième dimension" n'est pas uniquement la tentative d'un physicien théorique d'apporter du combustible aux feux intellectuels - pour aller au-delà de la mécanique quantique vers une nouvelle physique plus large qui inclut le psychisme - mais qu'elle est une dimension cachée qui apparaît comme un être. Cet être dit à Pauli qu'il connaît les rouages ​​secrets de la nature, mais qu'il est incapable de comprendre le langage difficile de la mécanique quantique. Il dit aussi à Pauli que ce dernier ne comprendrait pas sa langue. Mais cet "être" veut être admis à l'université. Il ressent le besoin d'entrer dans le dialogue de la physique moderne, peut-être pour apprendre son langage afin de révéler ses secrets aux médecins. Il fait pression sur Pauli. Cet être est l'esprit de la matière et la dimension cachée que Pauli cherchait.

Auteur: Fred Alan Wolf

Info: The Dreaming Universe: A Mind-Expanding Journey into the Realm Where Psyche and Physics Meet conscient scientifique vs inconscient archétypal

[ quête scientifique ] [ rationalisme religieux ] [ conscient scientifique vs inconscient archétypal ] [ gardien du seuil ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

question

Bonjour, j'ai cette interrogation.

Comment peut-il n'y avoir aucun commencement ? Tout a un début. Je n'arrive vraiment pas à comprendre, même si je le veux. En savez-vous plus sur le sujet ?



"Nous avons tant besoin de savoir ce que c'est que de devenir complet. Pouvez-vous le dire ?"

'Nous le savons bien. On peut le dire avec vos mots.

Il n'y a pas de début, il n'y a pas de fin,

Il n'y a que le changement.

Il n'y a pas de professeur, il n'y a pas d'étudiant,

Il n'y a que le souvenir.

Il n'y a pas de bien, il n'y a pas de mal,

Il n'y a que l'expression.

Il n'y a pas d'union, il n'y a pas de partage,

Il n'y a qu'un.

Il n'y a pas de joie, il n'y a pas de tristesse,

Il n'y a que l'amour.

Il n'y a pas de plus grand, il n'y a pas de plus petit,

Il n'y a que l'équilibre.

Il n'y a pas de stase, il n'y a pas d'entropie,

Il n'y a que le mouvement.

Il n'y a pas d'éveil, il n'y a pas de sommeil,

Il n'y a que l'être.

Il n'y a pas de limite, il n'y a pas de chance,

Il n'y a qu'un plan.

C'est ce que nous savons être."

Merci. Je l'accepte."



Sally Angela Wolf répond : 

Oui, il y eut un commencement, mais il risque de ne pas pouvoir exister techniquement dans une ligne temporelle qui a été conçue comme une boucle.

Auteur: Internet

Info: Sous le pseudo de Leni Zenith Sur le groupe FB "Astral Projection", 24 juin 2021

[ origine ] [ source ] [ seuil ] [ amorce ontologique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

transmutation

La Cohérence Quantique dans la Photosynthèse : Une Danse Subtile de la Lumière

Au cœur des feuilles, là où le soleil caresse les chloroplastes, se joue une symphonie invisible, un ballet quantique où les lois du monde microscopique orchestrent l’alchimie de la vie. La photosynthèse, ce miracle quotidien qui transforme l’énergie solaire en sucre, repose sur une efficacité si parfaite que la physique classique peine à l’expliquer. C’est ici qu’intervient la cohérence quantique, un phénomène délicat où les états énergétiques des molécules, telles des ondes entrelacées, explorent simultanément plusieurs chemins pour trouver la voie la plus efficace.

L’Énigme de l’Efficacité Photosynthétique

Dans les systèmes biologiques, l’énergie captée par les pigments chlorophylliens doit traverser un réseau complexe de molécules avant d’atteindre le centre réactionnel, où elle sera convertie en énergie chimique. Pourtant, malgré les obstacles thermiques et les désordres moléculaires, cette transmission atteint une efficacité proche de 100 %. Comment ?

La réponse réside dans la mécanique quantique. Contrairement à une marche aléatoire où l’énergie se perdrait en chemin, les expériences (notamment en spectroscopie 2D) ont révélé que les excitations lumineuses empruntent des superpositions d’états cohérents, explorant plusieurs trajectoires à la fois, comme un promeneur qui, au lieu d’essayer un seul sentier, emprunterait tous les chemins possibles en même temps pour trouver le plus court.

La Cohérence, ou l’Art de Ne Pas Choisir

Dans les complexes protéiques des antennes collectrices (comme les LH2 des bactéries pourpres ou les PSI/PSII des plantes), les états excités des chromophores (chlorophylles, caroténoïdes) ne se comportent pas comme des particules classiques, mais comme des ondes. Grâce à la cohérence quantique, ces excitations restent délocalisées sur plusieurs molécules simultanément, évitant ainsi les pièges de la dissipation thermique.

Ce phénomène rappelle étrangement l’algorithme quantique : au lieu de tester chaque possibilité l’une après l’autre, le système explore en parallèle toutes les configurations possibles, "calculant" en quelque sorte le chemin optimal vers le centre réactionnel. Cette délocalisation cohérente, bien que fugace (quelques centaines de femtosecondes), suffit à maximiser le transfert d’énergie.

Pourquoi la Nature a-t-elle "Choisi" la Cohérence ?

L’évolution a sculpté la photosynthèse pendant des milliards d’années, optimisant chaque étape. La cohérence quantique offre un avantage décisif :

1   Robustesse face au bruit : Malgré l’agitation thermique, les interférences constructives des états cohérents canalisent l’énergie efficacement.

2   Rapidité : En évitant les détours aléatoires, l’énergie atteint sa cible avant que la décohérence ne la disperse.

3   Adaptabilité : Certains organismes modulent leur structure pour exploiter différentes longueurs d’onde, et la cohérence permet une flexibilité optimale.

Une Poésie Quantique dans le Vivant

Il y a quelque chose de profondément émouvant dans l’idée que la lumière, en pénétrant une feuille, ne se contente pas d’y déclencher des réactions chimiques brutales, mais y danse d’abord, ondulant entre plusieurs réalités, comme hésitante avant de se fixer dans la matière. La cohérence quantique, souvent associée aux laboratoires et aux ordinateurs futuristes, est aussi un phénomène intime de la nature, une ruse sublime pour capter l’éphémère.

Ainsi, la photosynthèse n’est pas seulement une usine biochimique : c’est une œuvre d’art quantique, où la vie a appris à jouer avec les probabilités pour transformer l’incertitude en certitude, le photon en pain.



 

Auteur: Google Bard chatbot

Info: Réponse de gemini 2.5, le 5 juin 2025, à une demande d'éclaircissement sur la photosynthèse

[ seuil de décohérence ] [  rupture de cohérence ] [ moment frontière ] [ transition de phase ] [ saut vibratoire ] [ transduction ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

modes vibratoires

Considérons que l'univers dans lequel on vit serait une tapisserie, le fil utilisé serait donc de l'epsilon. Marc, j'espère ne pas galvauder le terme, sinon, toutes mes excuses...

Pour le contexte : j’ai commencé à vivre des expériences pas normales quand j’étais petite, je faisais du sport de compétition, version hardcore. Pendant une journée d’entraînement où je répétais la même suite de mouvement "jusqu’à ce que ça rentre", donc des centaines de fois à la suite, je m’étais retrouvée dans un état peut-être d’épuisement, mais surtout à 2 endroits à la fois, avec une conscience très accrue dans l’un et l’autre. Un énorme kif. J’étais à la fois dans la salle de gymnastique, et à la fois dans un espace noir non identifié. Je me sentais investie et entourée d’une énergie folle, et extrêmement lucide, et dans ma perception cet espace noir était moi, sur un autre plan.

Puis évidemment, comme c’était très intrigant et agréable, j’ai cherché à retrouver cet état, et compris au bout d’un certain temps et quelques étapes dont je vous fais grâce que c’était d’abord le mental qu’il fallait écarter et mettre en sourdine.

Être présente et consciente sur plusieurs plans en même temps, c’est devenu LA chose qui vaut la peine d’investiguer pour moi (Ça m’a été présenté plus tard comme une sorte de mission de vie), et c’est le point de départ d’expériences diverses et variées, suivant les plans. Avec le temps, ça s’est étoffé, affiné, notamment dans le sens ou j'ai appris à distinguer différentes "trames", soit composition de l'espace dans lequel on se trouve.

A préciser que la seule corde d’argent que j’ai vu, c’est celle de mon grand-père qui était mourant, et que j’accompagnais depuis "l’espace noir".  La mienne, jamais vue, c’est pour ça qu’en lisant Marc, je me dis que je navigue par le biais de cette matière epsilon, sauf que... pas seulement si je me repère à ses autres descriptions. 

Alors dans le désordre, une tentative de classement de plusieurs densités, de la plus basse à la plus haute vibration, ou du plus collant au plus magnifique. Je n’ai jamais pris la peine d’élaborer un vocabulaire, vu que je n'ai jamais discuté de ces choses-là en-dehors de ce groupe, vous me pardonnerez des formulations peut-être nébuleuses :

1. Bas étages : c’est lourd, des sortes de cavernes dans une gamme de couleurs moches et ternes, jaune/brun/orange plus qu’opaque. Tout est lent, lourd et sans joie. J’y ai suivi (de loin) mon grand-père qui est parti dans cette zone après son décès.

2. Plan physique : Qu’est-ce qui se passe maintenant et ici à X distance : perso, je n’aime pas tellement faire ça, peu agréable, pas très rapide par rapport à d’autres sphères et collant pour reprendre le terme de Marc (moi je m’étais dit encombré/dense).

3. Plan "esprit" : En restant ici et maintenant, mais en se branchant sur quelqu’un, les infos/sensations/historique des causes et ressentis/préoccupations arrivent sous forme de scène dans laquelle on est plongé, c’est très rapide, parfois juste un flash et très complet à la fois. Pas de contrainte de temps. Là, il y a moins de colle, un petit peu moins de densité, mais on reste dans la trame epsilon. Les informations sont justes, pour autant qu'on ne cherche pas à les interpréter (ce qui est trèèèès difficile), pour celles que j'ai pu vérifier.

Variante : Une fois, un monsieur âgé est tombé de son vélo à quelques mètres de moi dans la rue, une équipe médicale tentait de le réanimer. Je perçois tout d’un coup, toujours à travers ce que j'appelle espace noir, une forme-énergie qui s’approche de moi, c’est lui. Il me demande de lui indiquer ce qu’il doit faire et me dit  (sans emploi de langage, mais par image-ressenti-intentions instantané) qu’il aimerait bien revoir une ancienne amie. Je lui répond sur le même mode "pas de problème, vas-y, tu es libre d’y aller, c’est par là" et il disparaît. Ce type tellement doux m’a bcp touché, et j’ai parfaitement en mémoire la teinte émotionnelle fine et complexe que j’ai vu de lui. Tout ça s’est déroulé en moins d’une seconde. Dans l'espace normal, le Monsieur est décédé.

4. Contact avec des entités : Depuis l’espace noir, j’ai une vraie copine qui n'est pas toujours là, mais m'accompagne depuis que je suis née. Entre autres: Elle m’a fait visiter sa vie à elle, a pris les devants pour m’aider une fois quand je me suis retrouvée dans une situation potentiellement dévastatrice de ma vie ici, m’a demandée de l’assister pour - aider une femme à mourir mieux que prévu (une accusée de sorcellerie dans le nord de l’Italie, à priori il y a quelques centaines d’années, qui se faisait trucider par tout un village)-. Je sais que cette entité est réelle, je suis bien moins sûre de la femme du village italien. Cette partie-là, me semble-t-il est "traduite" par moi, donc au minimum du minimum : déformée.

5. Vortex : Depuis l’espace noir, un vortex vertigineux ultra rapide m’emmène. C’est à partir de là que je ne pense pas rester dans l’epsilon : Il y a comme un voile qui disparaît, la composition de l'espace change complètement, tout ce qui se passe à partir de là est bien plus intense, réel et vivant que ma vie ici. Une fois, j’ai vu un gros mur brun à franchir, et j’ai pu le passer. Je suis arrivée dans un espace incroyablement intense et vivant, d’une autre trame, bien plus réelle, forte, vibrante, pas le même espace, peu descriptible. Il y avait une présence qui m’attendait. Je suis tombée sur une sorte d’insecte géant qui voulait communiquer avec moi. Seulement cette "personne" ne me semblait pas hostile mais pas du tout avenante ni chaleureuse non plus. En fait, d’une froideur et d’une puissance qui m’a foutu une peur panique et m’a ramenée de suite dans mon lit. Je me suis copieusement traitée d’idiote après coup… 

La plus belle expérience c’est quand le vortex ultra rapide (qui se fout royalement du temps et de l’espace) m’a ramené à ma source, ma famille. On est un groupe de conscience qui est un, tout en étant une population entière. Je ressens un bonheur inégalable, je suis enfin à la maison. Tout est baigné d'amour, de couleurs invraisemblables. Je revis le moment antédéluvien où il a été décidé que moi et d’autres se détachaient du Un pour aller expérimenter. Ce qui s’est passé là est intraduisible : Une émulation variée, commune et instantanée, un amour complet, plusieurs "assertions" mais toutes en un, puis le départ, clair, évident, mais sans rien qui peut ressembler à de la communication ou des sentiments humains. De plus, pour reprendre l'image d'une tapisserie, ben... y a plus de tapisserie, on est dans l'atelier de tissage.

6. Inclassables/Mix : Le Higher Self, qui prend la forme qu’il veut. Mon état énergétique quand je me sens sur plusieurs plans à la fois. Là, je n'arrive vraiment pas à décrire. La rencontre avec moi vivant ailleurs (autre espace-temps, autre univers, mais traduit avec ce que je suis capable d’assimiler). J’ai raconté ça dans mon premier post. Je ne sais toujours pas comment caler celle-là, mais en tout cas, il y a un mix des genres.

Finalement pour résumer : les deux derniers items font passer tout le reste et tout ce qu’on peut vivre sur Terre pour un théatre de marionnettes en papier mâché, avec des fils même pas transparents. Cela dit, je n’ai jamais vu mon corps astral, ni ma corde d’argent… et c’est là que je ne comprends pas si je vis la même chose que vous, voyageurs, ou si je déconne carrément…

Auteur: Anonyme

Info: Sur : Explorateurs du réel, groupe FB de Marc Auburn, début 2021

[ moi supérieur ] [ astral ] [ éthérique ] [ niveaux de conscience ] [ témoignage ] [ gardien du seuil ]

 

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