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logicisme

Alors que le réductionnisme traditionnel cherchait à trouver le point commun qui sous-tend la diversité par référence à une substance partagée, comme les atomes matériels, la théorie des systèmes contemporains cherche à trouver des caractéristiques communes en termes d'aspects d'organisations partagés.

Auteur: Laszlo Ervin László

Info: The Systems View of the World: A Holistic Vision for Our Time

[ phénétique ] [ historique ] [ structures parentes ] [ symbioses analogues ] [ philosophie ]

 

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évolution

La raison sous-jacente de la convergence semble être que tous les organismes font l'objet d'une surveillance constante de la sélection naturelle et sont également soumis aux contraintes des facteurs physiques et chimiques qui limitent sévèrement l'action de tous les habitants de la biosphère. En termes simples, la convergence montre que dans un monde réel, tout n'est pas possible.

Auteur: Morris Simon Conway

Info:

[ contraintes ] [ phénétique ] [ archétypes ]

 

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émergences

Les ailes ont évolué de manière indépendante chez les insectes, les reptiles, les oiseaux et les chauves souris : des profils aérodynamiques similaires sont apparus pour répondre aux contingences similaires de l'air. Cette tendance des organismes à évoluer dans des directions semblables en dépit de leur origine différentes s'appelle la convergence. Et la convergence suggère que de nombreuses espèces iront dans l'espace comme de nombreuses espèces ont abordé la terre ferme ou conquis l’atmosphère.

Auteur: Margulis Lynn

Info: L'univers bactériel, le microcosme à venir, p 265

[ développement ] [ évolution ] [ confluences ] [ conquête spatiale ] [ phénétiques ]

 
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étymologies

Le français en est arrivé à oublier ses variantes dialectales, à penser même qu'elles n'existent pas, ce qui est faux. L'italien sait, lui, qu'il est multiple, même s'il existe un italien de référence. Il y a également le problème des "grandes" et des "petites" langues. Je suis convaincu qu'on ne traduit pas dans (ou d') une petite langue comme dans (ou d') une grande. Ce sont des questions politiques. Le problème de la traduction n'est pas seulement technique, il est lié à des valeurs historiques.

Auteur: Vitez Antoine

Info:

[ transposition linguistique ] [ sémantique ] [ cladistique ] [ phénétique ] [ patois ]

 

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force immuable

La nature peut parvenir au même résultat de différentes manières. Comme une vague dans le monde physique, dans l'océan infini du milieu qui imprègne tout, ainsi dans le monde des organismes, dans la vie, un élan dont on ne connait pas la source a commencé à avancer, parfois, peut-être, à la vitesse de la lumière, parfois, encore, si lentement qu'elle semble stagner pendant des siècles et des siècles, passant par des processus d'une complexité inconcevable pour les hommes, mais dans toutes ses formes, à tous les stades, son énergie est toujours et intégralement présente.

Auteur: Tesla Nikola

Info: Conférence (février 1893) prononcée devant le Franklin Institute, Philadelphie, "On Light and Other High Frequency Phenomena"

[ phénétique ]

 

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évolution

Ce qu'on constate pour ces périodes reculées de la Préhistoire eurasiatique, c'est d'abord l'extrême diversité des solutions techniques utilisées d'un bout à l'autre du continent. Autour de -500 000 ans environ, apparaissent des cultures à bifaces (dites acheuléennes), ces objets de pierre taillée sur les deux faces qui existent en Afrique dès 1,7 millions d'années. En Europe, cet objet emblématique semble bien faire l'objet d'une réinvention totalement indépendante du phénomène africain. Ceci nous permet d'introduire que, tout au long de l'évolution humaine, des groupes humains ont pu disparaître, emportant avec eux leurs savoirs, leurs connaissances, leur culture.

Auteur: Teyssandier Nicolas

Info: In Origines de l'humanité : les nouveaux scénarios de José Braga

[ phénétique ] [ outils ] [ similitude ]

 

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sciences anciennes

Robert consacrait énormément de temps à disséquer les noms, à chercher des substitutions simples qui feraient toute la différence entre un bipède et un quadrupède, et qui obligeraient ses pantins à exécuter des ordres élémentaires. Mais il ne leur trouvait pas de points communs. Il avait sur des bouts de parchemin soixante-douze petites lettres de l’alphabet hébraïque formant douze lignes de six caractères, et leur disposition était totalement arbitraire, pour autant qu’il pouvait en juger.

Robert Stratton et ses camarades de CM1 restaient assis sans faire le moindre bruit pendant que maître Trevelyan effectuait d’incessants allers et retours entre les rangées de bureaux. 

"Langdale, récitez-moi la doctrine des noms.

— Toute chose étant un reflet de Dieu, heu, tous…

— Épargnez-nous vos balbutiements, Langdale. Thorburn ?

— Toute chose étant un reflet de Dieu, tous les noms sont des reflets du nom divin.

— Et quel est le vrai nom d’un objet ?

— Celui qui est le reflet du nom divin de la même manière que l’objet est le reflet de Dieu.

— Quelles sont les propriétés d’un vrai nom ?

— Il apporte à l’objet qui le porte un reflet de la puissance divine.

— Exact. Halliwell, quelle est la doctrine des signatures ?"

La leçon de philosophie naturelle* se poursuivit jusqu’à midi, mais c’était un samedi et ils n’avaient pas cours l’après-midi. Maître Trevelyan les autorisa à se lever et les pensionnaires de l’école Cheltenham s’égaillèrent.

(...)

- Pourquoi s'obstinent-ils à appeler cela de la philosophie naturelle ? Ils devraient admettre qu'il s'agit d'un cours de théologie et renoncer à tous ces faux-semblants.

Auteur: Chiang Ted

Info: La tour de Babylone. Soixante-douze lettres, p 217-218. *Qui précède la philo moderne, post Galilée

[ signifiés ] [ phénétique ] [ langage ] [ apparences ] [ religion ] [ appellations ] [ réverbérations ]

 

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taxinomie

Selon Leibniz, la philosophie se rattache aussi bien à la sagesse (par sa finalité pratique : le bonheur) qu’à la science (par la nécessité de disposer de connaissances sûres), sans pour autant se confondre avec l’érudition (qui en est plutôt la préparation). La métaphore retenue pour penser son organisation interne et les rapports entre ses parties n’est pas celle, lullienne et cartésienne, de l’arbre, mais plutôt celle de l’océan. Cette dernière illustre l’unité et la continuité du savoir, où les divisions sont arbitraires, et suggère une vision non strictement hiérarchique des disciplines. L’océan ouvre plusieurs voies d’exploration possibles, offre au voyageur philosophe des "itinéraires" multiples, selon ses intérêts et les buts qu’il poursuit. Le choix de la métaphore marine invite donc à considérer qu’il n’y a pas une manière unique de pratiquer la philosophie. La vérité peut se présenter différemment, occuper des places différentes selon l’ordre adopté (synthétique, analytique, terminologique) et servir diverses fins : car elle n’est jamais (seulement) cherchée par curiosité. Elle ne vaut pas pour elle-même mais pour le bonheur qu’elle promet, ou pour les autres vérités qu’elle permet de découvrir, et dont on peut espérer, finalement, tirer un certain bien.

L’image de l’océan ne suffit pourtant pas à décrire la nature particulière du savoir : il faut lui adjoindre celle du réseau. Les vérités dérivent les unes des autres, forment des chaînes, mais défient les tentatives de classement par les connexions multiples qu’elles établissent au-delà des frontières traditionnelles entre les disciplines. Cette structure réticulaire permet d’augmenter considérablement les usages et les applications possibles d’une vérité et, dans la cartographie du savoir, rend impossible toute assignation à un lieu unique, dans une science déterminée. La vérité est par définition "transdisciplinaire". Chacune est un nœud dans ce réseau universel, nœud par lequel on y pénètre et l’on y peut circuler de différentes manières.

Auteur: Rateau Paul

Info: https://www.cairn.info/ La philosophie et l’idée d’encyclopédie universelle des connaissances selon Leibniz. In Archives de Philosophie 2018/1 (Tome 81), pages 115 à 141. Début de la conclusion

[ taxonomie multidimensionnelle ] [ triades intriquées ] [ citation s'appliquant à ce logiciel ] [ phénétique-cladistique ]

 
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contingences

Des millions d’années dans l’ombre : la vraie raison pour laquelle les mammifères sont restés petits

La fascination des humains pour les dinosaures géants ne cesse de grandir, mais pourquoi nos mammifères modernes semblent-ils si minuscules en comparaison ? Les titanesques sauropodes pouvaient atteindre plus de 20 mètres de haut et peser jusqu'à 80 tonnes, tandis que nos plus grands mammifères terrestres actuels culminent à peine à 5 mètres. Cette disparité de taille, loin d'être anodine, s'explique par des différences fondamentales d'anatomie, de physiologie et d'écologie.

Les fossiles de dinosaures continuent de nous impressionner par leurs dimensions colossales. Les recherches menées jusqu'en ce début 2025 révèlent pourquoi nos mammifères contemporains - même les plus imposants comme l'éléphant d'Afrique ou la girafe - ne peuvent rivaliser avec ces géants disparus. Plusieurs facteurs biologiques et environnementaux expliquent cette incapacité des mammifères à atteindre des tailles comparables, malgré des millions d'années d'évolution.


La reproduction et ses limites incontournables

Le premier frein majeur au gigantisme des mammifères réside dans leur mode de reproduction. Contrairement aux dinosaures qui pondaient plusieurs œufs simultanément, les mammifères portent leurs petits. Cette contrainte anatomique impose des limites physiques considérables.

La gestation des mammifères mobilise une quantité phénoménale d'énergie et de ressources. Plus troublant encore, la taille du canal pelvien constitue un véritable goulot d'étranglement évolutif. Au-delà d'une certaine dimension, le bassin ne peut plus permettre le passage des nouveau-nés sans compromettre la capacité de locomotion de la mère.

Les dinosaures, quant à eux, bénéficiaient d'un avantage reproductif déterminant. La ponte leur permettait de se reproduire plus fréquemment sans s'alourdir pendant de longues périodes. Cette caractéristique leur offrait la possibilité de grandir sans la contrainte anatomique imposée par la nécessité de donner naissance à des petits vivants.

Une physiologie qui détermine la taille maximal

L'architecture corporelle des mammifères impose également des restrictions fondamentales à leur croissance. Le système respiratoire des dinosaures, similaire à celui des oiseaux modernes, comportait des sacs aériens infiltrant leur squelette. Cette adaptation leur conférait une légèreté structurelle exceptionnelle.

Les os creux des dinosaures réduisaient considérablement leur poids tout en maintenant une résistance mécanique suffisante. Cette caractéristique anatomique permettait une meilleure oxygénation et une résistance accrue à l'écrasement par leur propre masse. Les mammifères, avec leurs os pleins et denses, atteignent plus rapidement les limites bioméchaniques.

La thermorégulation joue également un rôle crucial dans cette équation. Les mammifères, en tant qu'endothermes, produisent leur propre chaleur interne. Cette capacité exige une consommation énergétique dix fois supérieure à celle d'un reptile ou d'un dinosaure de taille équivalente. Ces derniers, probablement mésothermes, économisaient considérablement d'énergie, la redirigeant vers leur croissance plutôt que vers le maintien de leur température corporelle.

L'environnement et ses contraintes évolutives

Les conditions environnementales déterminent fortement les possibilités d'émergence du gigantisme. Une étude publiée dans Science en 2023, intitulée A macroevolutionary pathway to megaherbivory, souligne l'importance des vastes étendues sans barrière naturelle pour favoriser l'apparition d'animaux géants.

Les forêts luxuriantes du Mésozoïque offraient des ressources abondantes et constantes, indispensables au maintien d'animaux de plusieurs dizaines de tonnes. L'évolution des écosystèmes vers des environnements plus fragmentés et moins productifs a considérablement limité les possibilités d'émergence de nouveaux géants terrestres.

L'impact humain constitue désormais un facteur supplémentaire. Comme le souligne le paléontologue Geerat Vermeij, les activités humaines ont éliminé environ 90 % des grands animaux terrestres. Cette pression sélective artificielle empêche toute possibilité d'évolution vers des formes plus grandes dans les conditions actuelles.


Les titans des océans, derniers géants de notre Planète

Si les mammifères terrestres semblent condamnés à rester relativement petits, les mammifères marins échappent partiellement à cette règle. La poussée d'Archimède en milieu aquatique permet de contourner certaines contraintes gravitationnelles.

Le rorqual bleu, pouvant atteindre 30 mètres et 200 tonnes, représente l'animal le plus massif ayant jamais existé sur Terre. Cette exception confirme paradoxalement la règle : sur terre, le poids devient rapidement un obstacle infranchissable. Un cachalot ou une baleine bleue échoués meurent rapidement, incapables de supporter leur propre masse hors de l'eau.

Les dinosaures, avec leurs adaptations spécifiques, ont su conquérir cette niche écologique du gigantisme terrestre que les mammifères ne pourront jamais occuper, malgré des millions d'années d'évolution et d'adaptation.



 

Auteur: Internet

Info: futura-sciences.com, 1er mai 2025

[ phénétique ]

 

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biologie

Les " épines " sont apparues 28 fois indépendamment au cours de l’évolution

Comme les roses, de nombreuses espèces végétales ont des épines, ou plus précisément des aiguillons. Cet attribut est un cas spectaculaire de convergence évolutive.

D’après le dicton, " il n’y a pas de rose sans épines " : rien n’est jamais parfait, rien n’est jamais simple. Pourtant, d’un point de vue scientifique, les roses n’ont pas d’épines, mais des aiguillons ! La différence paraît subtile, mais les épines sont des tiges ou des feuilles qui se sont spécialisées au cours de l’évolution, alors que les aiguillons sont des excroissances de l’épiderme. On peut facilement les détacher sans blesser la plante. Ainsi, les cactus et les aubépines ont des épines, tandis que les roses ont des aiguillons. Elles ne sont d’ailleurs pas les seules : on en observe par exemple chez certaines solanacées proches de l’aubergine.

Quand des espèces ont un ancêtre commun récent, elles partagent une part importante de leur génome, et il n’est donc pas étonnant de retrouver des traits communs. Mais dans le cas des espèces de plantes dotées d’aiguillons, certaines ont un ancêtre commun très éloigné dans le temps. Il est donc probable que les excroissances se sont développées de façon indépendante ; on parle alors de convergence évolutive. Or un consortium international coordonné par Zachary Lippman, du laboratoire de Cold Spring Harbor, aux États-Unis, et impliquant plusieurs équipes dont celle de Mohammed Bendahmane, directeur de recherche Inrae, à l’École normale supérieure de Lyon, vient d’identifier le volet génétique de cette convergence.

Lorsque différentes espèces partagent les mêmes pressions environnementales, leur évolution, au travers de la sélection naturelle, peut conduire à faire émerger des solutions similaires. Les exemples sont nombreux : les ailes des oiseaux, des insectes et des chauves-souris ; l’écholocalisation des cétacés et des chauves-souris. Dans le cas de la vision, les ocelles des insectes et les yeux des vertébrés et des céphalopodes sont apparus indépendamment, mais, dans les deux cas, le gène Pax6 joue un rôle majeur dans le contrôle de leur développement.

Comme les épines, les poils ou les trichomes (de fines excroissances sur les racines, tiges ou feuilles), les aiguillons procurent de nombreux avantages à la plante : ils la protègent de l’appétit des herbivores ou des insectes, et retiennent l’humidité. Il n’est donc pas étonnant que cet attribut soit apparu de façon indépendante au moins 28 fois depuis 150 millions d’années. Mais comme dans le cas de la vision, retrouve-t-on, chez les différentes espèces dotées d’aiguillons, un même gène qui en contrôle le développement ?

Dans le genre Solanum, où l’on retrouve les pommes de terre, les tomates ou encore les aubergines, près de la moitié des espèces ont des aiguillons. On y constate d’ailleurs un signe de domestication : l’espèce sauvage Solanum insalum, dotée d’aiguillons, a été domestiquée, probablement en Inde, et a donné l’aubergine (Solanum melongena) sélectionnée par les cultivateurs, car dépourvue de ces excroissances protectrices.

Zachary Lippman et ses collègues ont commencé leur étude en croisant ces deux espèces d’aubergine (sauvage et cultivée) afin de localiser le gène responsable de la croissance des aiguillons. Ils ont montré qu’il s’agit d’un gène de la famille LOG (Lonely Guy). Ce gène est impliqué dans la synthèse de la cytokinine, une hormone végétale qui participe à la prolifération cellulaire et au développement de la plante.

Chez l’aubergine cultivée, le gène LOG est présent, mais il présente une mutation qui le rend inopérant et explique l’absence d’aiguillons. Les chercheurs ont identifié en tout 16 mutations différentes qui éclaircissent la perte d’aiguillons dans différentes espèces du genre Solanum.

En explorant d’autres espèces portant ces excroissances, l’équipe de Mohammed Bendahmane a retrouvé ce même gène LOG chez les rosiers. " Nous avons montré que le développement des aiguillons chez le rosier utilise le même mécanisme génétique que celui observé chez le genre Solanum, souligne le chercheur. En effet, une diminution de l’expression du gène LOG chez le rosier conduit à l’absence des aiguillons, comme chez le genre Solanum. "

Zachary Lippman et ses partenaires ont ainsi montré qu’un même mécanisme génétique a été recruté et a mené à cette convergence évolutive. D’après eux, l’apparition fréquente des aiguillons aurait été facilitée par la simplicité de ces excroissances, qui n’appellent pas de caractère physiologique spécifique.

Ce qui est certain, c’est que les roses et leurs épines ont inspiré des générations de poètes, et maintenant des scientifiques. Mais une rose sans épines, ou plutôt sans aiguillons, serait-elle encore une rose ? Cette question inspire à Mohammed Bendahmane un proverbe marocain : " Si l’on veut du miel, il faut supporter les piqûres d’abeilles ; si l’on veut une rose, il faut supporter ses épines. " Ainsi, la réponse est peut-être du côté de l’amour inconditionnel du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry pour sa rose.



 

Auteur: Internet

Info: https://www.pourlascience.fr/, Sean Bailly, 25 septembre 2024

[ plantes à fleurs ] [ phénétique ]

 

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