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répertoire

La science est le "Dictionnaire propre à l'Observateur".

Auteur: Ashby William Ross

Info:

[ limitation ] [ savoirs ] [ anthropiques ]

 

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question

Toute science n'est-elle pas une gnose, une connaissance de la nature du Tout, qui procède par révélations successives ?

Auteur: Yates Frances Amelia

Info:

[ savoirs ] [ limitation anthropique ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

quête

A ce point, pour ce qui concerne de plus larges propriétés, nous ne voyons dans la nature ce que nous cherchons ou ce que nous sommes équipés pour chercher.

Auteur: Eddington Sir Arthur

Info: The Nature of the Physical World. Chapter XV (p. 330). The Macmillan Company. New York, New York, USA. Chapitre XV (p. 330). La compagnie Macmillan. New York, New York, États-Unis. 1930

[ limitation anthropique ] [ biais grégaire ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

sciences

Je suis de plus en plus convaincu que la nécessité de notre géométrie ne peut être démontrée, en tout cas ni pour ni par l'intellect humain.... La géométrie ne devrait pas être rangée avec l'arithmétique, qui sont purement aprioristiques, mais avec la mécanique.

Auteur: Gauss Carl Friedrich

Info: cité J. Koenderink, Solide Shape, Cambridge, MA, 1990

[ mathématiques ] [ anthropique limitation ]

 

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niveau vibratoire

En ce qui concerne la matière, nous nous sommes trompés. Ce que nous nommions matière est de l'énergie, dont la vibration a été abaissée au point d'être perceptible par les sens. La matière est l'esprit réduit à la visibilité. Il n'y a pas de matière.

Auteur: Einstein Albert

Info:

[ priméité ] [ réalité consensuelle ] [ holarchie ] [ anthropique limitation ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste

intelligence artificielle

La plupart des apprentissages humains et animaux sont des apprentissages non supervisés. Si l'intelligence était un gâteau, l'apprentissage non supervisé serait le gâteau, l'apprentissage supervisé serait le glaçage de ce gâteau et l'apprentissage par renforcement serait la cerise sur le gâteau. Nous savons comment faire le glaçage et la cerise, mais nous ne savons pas comment faire le gâteau. Nous devons résoudre le problème de l'apprentissage non supervisé avant de pouvoir envisager une véritable IA.

Auteur: Le Cun Yann

Info:

[ limitation ] [ hyper-structure anthropique ] [ hors-sol ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

métalangage

Lorsque les prémisses de cette nouvelle approche eurent été formulées, je découvris de façon inattendue qu'elles constituaient la négation des vieilles "lois de la pensée" et le fondement d'un système non-aristotélicien. J'ai nommé "Sémantique générale" son modus operandi. Les prémisses en sont très simples et peuvent s'énoncer au moyen d'une analogie :

1. Une carte n'est pas le territoire. (Les mots ne sont pas les choses qu'ils représentent.)

2. Une carte ne couvre pas tout le territoire. (Les mots ne peuvent pas couvrir tout ce qu'ils représentent.)

3. Une carte est auto-réflexive. (Dans le langage nous pouvons parler à propos du langage.)


Auteur: Korzybski Alfred Abdank Skarbeck

Info: Une carte n'est pas le territoire

[ consensus fermé ] [ limitation anthropique ]

 

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auto-évaluation

Jusqu'à présent, la science a progressé sans être guidée par une théorie rationnelle de la logique, et elle a certainement fait de bons progrès. Elle procède comme un ordinateur qui suit une méthode d'approximation arithmétique. Même si elle commet parfois des erreurs de chiffrement, celles-ci se rectifieront d'elles-mêmes si le processus est bon. Mais elle progresserait beaucoup plus rapidement si elle ne commettait pas ces erreurs ; et à mon avis, le temps est venu de doter la science d'une logique. Ma théorie me satisfait, je n'y vois aucun défaut. Selon cette théorie, l'universalité, la nécessité, l'exactitude, au sens absolu de ces mots, sont inaccessibles pour nous, et n'existent pas dans la nature. Il y a une loi idéale dont la nature se rapproche ; mais pour l'exprimer, il faudrait une série infinie de variations et de remaniements, tout comme les décimales peuvent exprimer l'irrationnel. N'est que pour que la continuité ne soit pas impliquée, une réponse parfaitement exacte peut être obtenue.

Auteur: Peirce Charles Sanders

Info: Lettre à G. F. Becker, 11 juin 1893. Collection Merrill, Bibliothèque du Congrès. Cité dans Nathan Reingold, Science in Nineteenth-Century America : A Documentary History (1966), 231-2.

[ impatience ] [ insondable ] [ limitation anthropique ] [ impossible conclusion ]

 

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savoirs

Les "sciences humaines" ne sont des sciences que par une flatteuse imposture. Elles se heurtent à une limite infranchissable, car les réalités qu'elles aspirent à connaître sont du même ordre de complexité que les moyens intellectuels qu'elles mettent en oeuvre. De ce fait, elles sont et seront toujours incapables de maîtriser leur objet.

Jusqu'au XIXe siècle au moins, la chance des sciences "dures" a été que leurs objets furent considérés comme moins complexes que les moyens dont l'esprit dispose pour les étudier. La physique quantique est en train de nous apprendre que cela n'est plus vrai et qu'à cet égard une convergence apparaît entre les différentes sciences (ou prétendues telles). Seulement, même si les réalités dernières du monde physique sont inconnaissables, le physicien parvient à découvrir entre elles des rapports exprimables en termes mathématiques, et dont des expériences lui permettent de démontrer l'exactitude.

Pour nous autres des sciences humaines, ces expériences sont hors de portée. Aussi, quand nous nous efforçons - et c'est le sens de l'entreprise structuraliste - de substituer, à la connaissance illusoire de réalités impénétrables, la connaissance - possible, celle-ci - des relations qui les unissent, nous en sommes réduits aux tentatives maladroites et aux balbutiements. 

Auteur: Lévi-Strauss Claude

Info: Le Monde, 8 octobre 1991.

[ rationalisme miroir ] [ limitation cognitive ] [ solipsisme grégaire ] [ biais anthropique ]

 

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constantes fondamentales

Les scientifiques se rendent peu à peu compte d'une vérité dérangeante : l'univers ressemble étrangement à un montage. Le problème concerne les lois de la nature elles-mêmes. Depuis 40 ans, les physiciens et les cosmologistes recueillent discrètement des exemples de "coïncidences" trop commodes et de caractéristiques spéciales dans les lois sous-jacentes de l'univers qui semblent nécessaires pour que la vie, et donc les êtres conscients, puissent exister. Si l'on modifiait l'une d'entre elles, les conséquences seraient fatales. Fred Hoyle, l'éminent cosmologiste, a dit un jour que c'était comme si "un super-intellect avait bricolé avec la physique".

Pour comprendre le problème, imaginez que vous jouez à Dieu avec le cosmos. Vous avez devant vous une machine de conception qui vous permet de bricoler avec les bases de la physique. Tournez ce bouton et vous rendrez tous les électrons un peu plus légers, tournez celui-là et vous rendrez la gravité un peu plus forte, et ainsi de suite. Il se trouve qu'il faut régler une trentaine de boutons pour décrire complètement le monde qui nous entoure. Le point crucial est que certains de ces boutons métaphoriques doivent être réglés très précisément, sinon l'univers serait stérile.

Exemple : les neutrons sont à peine plus lourds que les protons. Si c'était l'inverse, les atomes ne pourraient pas exister, car tous les protons de l'univers se seraient désintégrés en neutrons peu après le big bang. Pas de protons, donc pas de noyaux atomiques et pas d'atomes. Pas d'atomes, pas de chimie, pas de vie. Comme la bouillie du bébé ours dans l'histoire de Boucle d'or, l'univers apparait comme tout à fait propice à la vie.

Auteur: Davies Paul Charles William

Info:

[ réglage fin ] [ théisme ] [ sérendipité ] [ Éternel ] [ anthropique limitation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel