Parfois ce sont des parasites énergétiques qui vont, soit provoquer un suicide, soit un meurtre, pour se nourrir des produits epsilon fabriqués par la souffrance. Les mayas avaient compris cela et en ont fait des applications "industrielles". Chaque fois que je pense à eux, je suis enchanté que ces gens là aient disparu avec leurs pratiques obscures. Il en reste des traces ça et là, dans le vaudou par exemple, et chaque fois qu'une croyance primitive aime verser le sang d'un humain ou d'un animal dans des rituels abjects....

Il y aurait beaucoup à dire sur la puissance des parasites sur les humains terrestres par exemple....

Toute religion qui ritualise le sang versé est une abomination. La religion chrétienne y échappe de justesse, avec la consommation SYMBOLIQUE du corps et du sang du Christ. Avant Jésus, les odieux rituels du sang versé étaient communs à TOUTES les religions dites "du livre".

Ces rituels ENTRETIENNENT UNE RELATION DIRECTE avec les parasites énergétiques que ces mêmes religions qualifient de DÉMONS.

Dès que j'ai quitté le corps physique, j'ai pris conscience de la présence de trois êtres dans la pièce. Je suis resté prudemment près de mon corps physique tandis qu'ils s'approchaient. Ils ont commencé à me tirer, non pas fort, mais délibérément, comme pour voir ce que j'allais faire. Ils s'amusaient comme des fous. J'ai essayé de rester calme, mais ils étaient trois. Je n'étais pas sûr de pouvoir revenir assez vite dans le corps physique avant qu'ils ne m'éloignent. Alors j'ai prié. Encore une fois, j'ai utilisé toutes les prières que je connaissais. J'ai demandé à Dieu de m'aider. J'ai prié au nom de Jésus-Christ. J'ai essayé quelques saints dont j'avais entendu parler par ma femme catholique. Résultat ? Mes bourreaux ont éclaté de rire et m'ont assailli avec plus d'enthousiasme. " Écoute-le prier ses dieux ", a gloussé l'un d'eux, avec un profond mépris. " Écoute-le ! " Je crois que je me suis un peu mis en colère après cela. J'ai commencé à résister, je me suis rapproché de mon corps physique et j'ai plongé. Je ne me débattais pas vraiment, mais je ne suis certainement pas resté passif.