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errance

Né vagabond. Je vagabonderai jusqu'à ma mort.

Auteur: Blind Willie McTell

Info:

[ musique ] [ blues ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

errance

L'erreur c'est de croire qu'il puisse y avoir un antidote à l'incertitude.

Auteur: Levithan David

Info: The Lover's Dictionary

[ aucun point fixe ] [ acceptation ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

errance

On ne peut pas s'attribuer une vérité qui n'éveille aucun écho. Où est le reflet de notre valeur ? Et qui parlera pour nous quand on sera mort ?

Auteur: McCarthy Cormac

Info: Stella Maris (p 214)

[ question ] [ physique quantique ] [ silence ] [ généalogie ]

 
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Ajouté à la BD par Rice

errance

A peine a-t-il dépassé les limites de l'octroi de la ville qu'il pénètre dans ce qui lui semble être un autre pays, un univers différent où les gens cessent d'être des planètes qui se déplacent sur des orbites fixes autour de la place centrale, de la maison, du champ ou de l'atelier, pour devenir des flammèches divagantes.

Auteur: Tokarczuk Olga

Info: In "Les livres de Jakob", p. 605-604

[ périurbaine ] [ suburbaine ] [ orbi ] [ métaphore ]

 
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Ajouté à la BD par Benslama

errance

Noël se passa : un Noël désolé, sans réjouissances. Edevart s’étonnait de sentir en lui ce désir de s’exiler. Avait-il déjà trop erré par le monde et acquis l’étoffe d’un vagabond ? Pour lui désormais, un endroit en valait un autre ; il ne s’y trouvait ni mieux, ni moins bien. Le sentiment de la patrie s’effaçait peu à peu en lui. Ses racines dans la terre étaient blessées.

Auteur: Hamsun Knut

Info: Dans "Vagabonds", édition Pochothèque, trad. J. Petithuguenin, page 1043

[ déracinement ] [ éparpillement ]

 
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Ajouté à la BD par Coli Masson

errance routière

J'aime la route. Ma mémoire au volant. Les plaines de France. J'aime la route. Je la connais. Quand j'étais môme, je me faisais un petit trois cents bornes à vide. Aucun but. Le plaisir intense d'une aventure inventée à chaque nouveau décor. 

J'aimais conduire. Vite. En rupture avec la raison. Nuit et jour. Au petit matin. À l'heure du blues crépusculaire. Avec des bouts de lumière qui te pètent dans l'oeil, avec Marvin Gaye qui chante à la radio. Des courbes qui s'engouffrent dans le noir des longs tunnels. Faut pas lâcher le pied. Faut lui garder son centre de gravité à ta bagnole et remettre le pied à fond pour sortir de la courbe radieux. Encore sauvé ! Putain de pied de nez !

Auteur: Bohringer Richard

Info: Traîne pas trop sous la pluie

[ automobile ] [ liberté ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

errance

Il n’y a pas deux collines identiques mais partout sur la terre la plaine est la même. Et je marchais par un chemin de plaine. Je me demandai, sans y attacher trop d’importance, si j’étais dans l’Oklahoma ou au Texas, ou bien dans la région qu’en littérature on appelle la pampa. Pas plus à droite qu’à gauche je ne vis la moindre clôture. Une fois de plus je répétai lentement ces vers d’Emilio Oribe :

Au milieu de l’interminable plaine panique

Là-bas près du Brésil,

qui vont croissant et s’amplifiant. Le chemin était défoncé. La pluie se mit à tomber. A quelque deux ou trois cents mètres j’aperçus la lumière d’une habitation. C’était une maison basse et rectangulaire, entourée d’arbres. L’homme qui m’ouvrit la porte était si grand qu’il me fit presque peur. Il était vêtu de gris. J’eus l’impression qu’il attendait quelqu’un. Il n’y avait pas de serrure à la porte. Nous entrâmes dans une vaste pièce aux murs de bois. Du plafond pendait une lampe qui répandait une lumière jaunâtre. La table avait je ne sais quoi de surprenant. Il y avait sur cette table une horloge à eau, comme je n’en avais jamais vu que sur quelque gravure ancienne. 



 

Auteur: Borges Jorge Luis

Info: Le livre de sable, "Utopie d'un homme qui est fatigué". Incipit

[ étrangeté ] [ steppe ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste