réussite

La jalousie est l'ombre que projette le succès.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ envie ] [ aigreur ]

sexualité

Les maris sont d'excellents amants, surtout lorsqu'ils trahissent leurs femmes.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ adultère ] [ excitation ] [ nouveauté ]

hommes-par-femme

Les hommes préfèrent les blondes parce que les blondes savent ce que les hommes préfèrent.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ chiasme ]

hommes-par-femme

Les hommes sont tous les mêmes. Seuls leurs visages sont différents pour qu'on puisse les distinguer.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ physionomie ] [ similaires ]

Usa

Hollywood est un endroit où on te payera mille dollars pour un baiser et cinquante cents pour ton âme.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ cinéma ]

foyer

Une carrière réussie est une chose merveilleuse, mais on ne peut pas se pelotonner contre elle la nuit, quand on a froid l'hiver.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ manque ] [ réussite ]

renaissance

Sans crier gare, l'amour fondit sur moi, m'enveloppa, me souleva dans les airs, me remit d'aplomb et je posai sur le monde un regard tout neuf, comme si je venais de naître.

Auteur: Monroe Marilyn

Info: Confession inachevée

[ transformation ]

pensée-de-femme

C'est l'humeur et l'état d'esprit d'une femme qu'un homme doit stimuler pour que le sexe ait un intérêt. L'amant, le vrai, est celui qui vous fait fondre rien qu'en vous touchant la tête, en vous souriant droit dans les yeux.

Auteur: Monroe Marilyn

Info: cité par Ed Feingersh dans Marilyn

[ séduction ] [ regard ] [ hommes-par-femme ]

introspection

Je suis égoïste, impatiente et pas toujours sûre de moi. Je fais des erreurs, je suis parfois hors de contrôle et de temps en temps dure à supporter. Mais si vous ne pouvez pas me supporter à mes pires moments, alors vous ne me mériterez certainement pas à mon meilleur.

Auteur: Monroe Marilyn

Info:

[ femmes-par-femmes ] [ entièreté ]

première impression

La nuit dernière, je suis encore restée éveillée toute la nuit. Parfois je me demande à quoi sert le temps de la nuit. Pour moi, il n’existe presque pas, et tout me semble n’être qu'un long et affreux jour sans fin. Enfin, j’ai essayé de profiter de mon insomnie pour être constructive et j'ai commencé à lire la correspondance de Sigmund Freud. En ouvrant le livre pour la première fois, j’ai vu la photographie de Freud et j’ai éclaté en sanglots : il avait l'air très déprimé (cette photo a dû être prise peu de temps avant sa mort), comme s'il était mort en homme désabusé… Mais le Dr Kris m'a dit qu'il souffrait énormément physiquement, ce que j’avais appris dans le livre de Jones. Mais je pense avoir raison aussi, je fais confiance à mon intuition car je sens une triste lassitude sur son doux visage. Le livre prouve (même si je ne suis pas sûre que l'on doive publier les lettres d'amour de quelqu'un) qu'il était loin d'être coincé ! J'aime son humour doux et un peu triste, son esprit combatif qui ne l’a jamais quitté. 

Auteur: Monroe Marilyn

Info: Lettre du 10 février 1965 à son psychiatre

[ rencontre imaginaire ] [ empathie ] [ lecture ]