exactitude
Toute vérité indispensable, a priori ou a posteriori, n'aurait pu se manifester autrement
Auteur:
Kripke Saul Aaron
Années: 1940 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: philosophe et logicien
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
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intangible
]
[
atemporelle
]
cohérence
Il est évident qu'un philosophe des "mondes possibles" doit veiller à ce que son appareillage technique ne le pousse pas à poser des questions dont la signification n'est pas étayée par les même intuitions originelles qui donnèrent sens à cet appareillage.
Auteur:
Kripke Saul Aaron
Années: 1940 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: philosophe et logicien
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
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rationalisme
]
[
logique
]
secondéités
Appelons un élément "désignateur rigide" si, dans tous les mondes possibles, il désigne le même objet, "désignateur non rigide" ou accidentel si ce n'est pas le cas. Évidemment, nous n'exigeons pas que les éléments existent dans tous les mondes possibles... Lorsque nous considérons qu'une propriété est essentielle à un élément, nous voulons généralement dire qu'elle est vraie pour cet objet dans tous les cas où il aurait existé. Le désignateur rigide d'un existant indispensable peut être appelé fortement rigide.
Auteur:
Kripke Saul Aaron
Années: 1940 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: philosophe et logicien
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
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justesse terminologique
]
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exactitude du vocabulaire
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patronymes
Qu’avons-nous montré jusqu’ici, si tant est que nous ayons montré quoi que ce soit ? Premièrement, j’ai dit qu’il y a une doctrine généralement admise concernant la façon dont la référence des noms est déterminée et que cette doctrine, en général, n’est pas conforme à la réalité. Il n’est pas vrai, en règle générale, que la référence d’un nom soit déterminée par des traits singularisants, des propriétés identifiantes que possède le réfèrent et dont le locuteur sait ou croit que le réfèrent les possède. D’abord, il n’est pas nécessaire que les propriétés auxquelles pense le locuteur soient singularisantes. Ensuite, même si elles le sont, elles peuvent très bien ne pas être vraies du réfèrent que vise effectivement le locuteur, mais de quelque chose d’autre ou de rien du tout. C’est le cas lorsque le locuteur a des croyances erronées au sujet d’une certaine personne. Ce n’est pas qu’il ait des croyances correctes au sujet de quelqu’un d’autre, mais il a des croyances erronées au sujet d’une certaine personne. Dans des cas de ce genre, la référence semble finalement déterminée par le fait que le locuteur fait partie d’une communauté de locuteurs qui utilisent le nom. Le nom lui a été transmis grâce à une tradition, de maillon en maillon.
Deuxièmement, j’ai dit que même si, dans certains cas spéciaux, notamment dans certains cas de baptême initial, un réfèrent est effectivement déterminé par une description, par une propriété singularisante, bien souvent la fonction de la propriété n’est pas de fournir un synonyme, de fournir quelque chose dont le nom est une abréviation. Sa fonction, c’est de fixer la référence. Elle fixe la référence au moyen de certains traits contingents de l’objet. Le nom qui dénote cet objet est alors utilisé pour désigner l’objet en question, même en référence à des situations contrefactuelles dans lesquelles l’objet n’a pas les propriétés en question.
Auteur:
Kripke Saul Aaron
Années: 1940 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: philosophe et logicien
Continent – Pays: Amérique du nord - Usa
Info:
La logique des noms propres
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idées reçues
]
[
mots secondéïtés
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