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bouquins
Donner mes livres, c’était comme offrir un mari qu’on ne regarde plus à une femme qui le désire…
Auteur: Fontenaille Elise
Années: 1960 -
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: F
Profession et précisions: écrivain
Continent – Pays: Europe - France
Info: Ma vie précaire
[ cadeau ] [ analogie ]
Commentaires: 0
superficialité
On s’émeut vite sur la toile, mais on passe encore plus vite à autre chose. On s’indigne, on s’indigne, et puis on oublie.
Info: Banksy et moi
[ réseaux sociaux ] [ Internet ]
colonialisme
Entendu un soir dans un bar : "Un quart des Canadiens ont du sang indien dans les veines, les trois quarts restants ont du sang indien sur les mains".
Info: Les disparues de Vancouver
[ jeu de mots ] [ meutre ]
consolation
Some are born to sweet delight, some are born to the endless night... Sarah a toujours aimé la poésie, les poètes parlent sa langue à elle, celle de la rage, du désespoir et de la souffrance, celle de la grâce aussi.
délivrance
Là, nous avons vu une vieille femme herero de cinquante ou soixante ans qui creusait le sol à la recherche d'oignons sauvages. Von Trotha était là. Un soldat nommé Koenig a alors sauté de son cheval, il a sorti son pistolet et s'est avancé vers la femme. Il lui a dit : "Je vais te tuer", et elle a répondu "Merci". Il lui a alors collé son arme sur le front et a pressé la détente.
Info: Blue book
[ libération ] [ mort ]