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ironie
Ce ruban malheureux et rouge comme la honte.
Auteur: Ferré Léo
Années: 1916 - 1993
Epoque – Courant religieux: Récent et Libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: chanteur, musicien
Continent – Pays: Europe - France
Info: à propos de la légion d'honneur
[ décoration ] [ médaille ]
Commentaires: 0
déclaration d'amour
Sans boussole et sans voile Avec toi pour étoile...
Info: Les gares et les ports
[ repère ]
laisser-aller
C'est un désespoir qui n'a pas les moyens, la mélancolie.
Info:
[ tristesse ]
rapports humains
Ce qu’il y a d’encombrant dans la morale, c’est que c’est toujours la morale des autres.
[ éthique ] [ moralisateurs ]
existence
La vie est un grand livre écrit par un maladroit. Mais nous on s'en fout. On sait pas lire.
[ incompréhensible ] [ humour ] [ instinct vierge ]
délicate
Il y a des gens qui reçoivent d'abord la musique, d'autres les paroles. Les plus intelligents écoutent en priorité les paroles, les plus sensibles, la musique.
[ raffinée ]
langage
Le désespoir est une forme supérieure de la critique. Pour le moment, nous l'appellerons "bonheur", les mots que vous employez n'étant plus "les mots" mais une sorte de conduit à travers lequel les analphabètes se font bonne conscience.
Info: La solitude
[ justification ]
pessimisme
C'est à trop voir les êtres sous leur vraie lumière qu'un jour ou l'autre nous prend l'envie de les larguer. La lucidité est un exil construit, une porte de secours, le vestiaire de l'intelligence. C'en est aussi une maladie qui nous mène à la solitude.
Info: Testament phonographique
[ rapports humains ] [ ennui ]
texte incarné
La poésie est une clameur. Elle doit être entendue comme la musique. Toute poésie destinée à n’être que lue et enfermée dans sa typographie n’est pas finie. Elle ne prend son sexe qu’avec la corde vocale tout comme le violon prend le sien avec l’archet qui le touche.
Info: Extrait de l’album : il n’y a plus rien
[ citation contre ce logiciel ] [ langage vivant ] [ anti FLP ]
éloge
Mozart et Ravel sont les anges de la musique. Si Mozart est déjà loin de nous et qu'il faille le lire dans le texte, comme on lit Virgile et Racine, Ravel, lui, est la lampe douce qui luit sur la médiocrité contemporaine. Son verbe gracieux est notre verbe. Qu'on le veuille ou non, depuis 1937, on attend toujours l'AUTRE, celui qui sera aussi grand que lui.
[ classique ]