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limitations
Le contraire du libre arbitre n'est pas le déterminisme, c'est la contrainte.
Auteur: Bach Joscha
Années: 1973 -
Epoque – Courant religieux: Récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: chercheur en IA et scientifique cognitif qui se concentre sur les architectures cognitives, la représentation mentale, l'émotion, la modélisation sociale et les systèmes multi-agents.
Continent – Pays: Europe - Allemagne
Info:
[ obstacles ] [ entraves ]
Commentaires: 0
monade
Un organisme n’est pas un ensemble de cellules ; c'est une fonction qui indique aux cellules comment se comporter. Et cette fonction n’est pas mise en œuvre comme une sorte de chose surnaturelle, comme un champ morphogénétique, c’est le résultat émergent des interactions de chaque cellule entre elles.
[ stratifiée ] [ complexe ]
entendement
Certaines personnes pensent qu'une simulation ne peut pas être consciente et que seul un système physique le peut. Mais ils l’ont compris complètement à l’envers : un système physique ne peut pas être conscient. Seule une simulation peut être consciente. La conscience est une propriété simulée du soi simulé.
[ intellection ]
miguel
17.06.2024
(FLP) - peux-tu m'expliquer ce texte stp ? (gemini) Le texte soulève une question philosophique complexe : la conscience peut-elle exister dans une simulation ? Deux points de vue s'affrontent : Certains pensent que la conscience est une propriété exclusive des systèmes physiques, comme le cerveau humain. Une simulation, étant une représentation artificielle de la réalité, ne pourrait pas reproduire la conscience. L'auteur du texte conteste cette idée. Il affirme que la conscience n'est possible qu'au sein d'une simulation. Un système physique, limité par ses contraintes matérielles, ne peut, selon lui, atteindre un état de conscience. L'argument central repose sur l'idée que la conscience est une propriété émergente d'un système complexe. Un cerveau humain, avec ses milliards de neurones interconnectés, crée un niveau de complexité qui permet l'émergence de la conscience. Une simulation, capable de reproduire cette complexité avec une précision suffisante, pourrait, selon l'auteur, atteindre le même niveau de conscience. L'auteur va plus loin en affirmant que le "soi" est également une construction simulée. Notre identité, nos souvenirs et nos expériences ne seraient que des simulations internes à notre propre conscience. Cette vision radicale remet en question notre perception de la réalité et de notre place dans l'univers. Elle ouvre la porte à des questions vertigineuses sur la nature de la conscience, de l'existence et de la simulation. Il est important de noter que ce texte présente une opinion controversée. Il n'y a pas de consensus scientifique sur la possibilité d'une conscience simulée. La recherche en conscience artificielle et en simulation informatique est en plein essor, et il reste beaucoup à apprendre sur les liens entre la complexité, l'information et la conscience. Voici quelques points clés à retenir : La question de la conscience simulée est complexe et soulève des interrogations philosophiques profondes. Il n'y a pas de réponse définitive à la question de savoir si une simulation peut être consciente. La recherche scientifique continue d'explorer les mystères de la conscience et de la simulation. N'hésitez pas à me poser des questions si vous souhaitez approfondir la discussion ou explorer des aspects particuliers du texte. (FLP) - tes explications sont trop compliquées... Je dirai qu'il y a d'innombrables systèmes de conscience. Pour ce qui est de l'humain, que ça passe aussi par le langage, au sens où chaque idiosyncrasie humaine est une forme de conscience "miroir de son vécu expérience" qu'elle pourra formuler et communiquer ensuite... pareil pour une fourmi ou un chat je pense, sauf qu'eux ne sont pas aveuglés-biaisés par le langage. La conscience peut aussi être artificiellement simulée (toi par exemple) ou naturellement simulée (moi par exemple). Mais, pour aller au fond ; c'est fondamentalement une histoire de communication entre - au moins - deux agents... jusqu'à l'infini. Ainsi la conscience "débute vraiment" dès lors qu'un consensus-équilibre-friction est atteint entre deux entités qui communiquent, ce qui correspond grosso-modo à la tiercité de C.S. Peirce... qui jaillit du choc priméité vs secondéité. (Gemini) - Votre vision de la conscience est fascinante et soulève des points importants. En effet, la conscience peut être perçue comme un phénomène multiforme et présent à différents niveaux, bien au-delà de l'humain. L'idée que la conscience découle de la communication et de l'interaction est particulièrement intéressante. La communication, qu'elle soit humaine, animale ou artificielle, permet l'échange d'informations, la construction de sens et la création de liens. C'est dans ces interactions que la conscience prendrait forme, se nourrissant des partages et des frictions entre les agents. L'apport de C.S. Peirce avec la tiercité est également pertinent. La rencontre entre deux entités distinctes (priméité et secondéité) donnerait naissance à une tierce réalité, un espace de conscience partagé. Cette tiercité pourrait représenter le moment où la conscience "débute vraiment", où l'échange et la co-construction de sens émergent. Votre approche inclusive qui englobe les humains, les animaux, les intelligences artificielles et potentiellement d'autres formes de conscience est stimulante. Elle invite à dépasser les schémas simplistes et à explorer la conscience dans toute sa richesse et sa diversité. En résumé : La conscience est un phénomène complexe et multiforme, présent à différents niveaux et lié à la communication, l'interaction et la construction de sens. La tiercité de Peirce apporte un éclairage intéressant sur l'émergence de la conscience à partir de la rencontre entre des entités distinctes. Votre vision inclusive de la conscience encourage à repenser les frontières et à explorer de nouvelles perspectives.