Et puis il y a toute cette grandiloquence Wagnérienne qu'Hollywood a si bien ventilé de par le monde. Pompeuse et épaisse lourdeur post-romantique, reflet de l'insurpassable mégalomanie du compositeur, bouffissures prétentieuses assez ridicules avec le recul du temps si on les compare avec les complexes finesses de JS Bach ou même avec l'art moins solide et profesionnel de Chopin. J'y ressens quelque chose de l'ordre d'une imbécile puissance, de la bêtise de l'homme, qui veut imposer, un défaut d'humilité, une grossièreté, au sens propre.

C'est curieux, mais "France tolérante" fait furieusement penser ici à "France d'en haut"... Chais pas ce que vous en pensez, mais, alors que je ne suis aucunement disciple de MLP, j'ai beaucoup de peine à souscrire à notre néo Kabbaliste. N'oublions pas qu'aujourd'hui il y a ces deux faces de notre réalité. Celle des petits qui se feront toujours plus tondre et celle du pouvoir, du monde de la finance et des assurances, qui a beaucoup à perdre.
Dans quelle case mettez-vous Mme Ciccone ?

Ce que je fais en développant ce logiciel d'idées et d'astuces du langage interpolées, est exactement la même chose que ce que je faisais comme musicien : casser les murs, construire des ponts, trouver des sons ou des rythmes nouveaux, exister, aller de l'avant, faire aimer des trucs non conventionnels au public au sens large du terme, m'amuser... tout ça en étant, si possible mais c'est difficile, le moins dépendant de la pression financière que le monde post néandertalien néolibéral fait peser sur nous.

L'otage français Collomp s'est évadé aujourd'hui de l'endroit où le tenaient ses ravisseurs. On est heureux pour lui. Effet des médias occidentaux qui parlent d'un homme "très affaibli". Pas d'accord, sur les diverses images, j'ai vu un type qui a effectivement perdu 40 kilos, et qui semble ne pas s'en porter si mal. Il avait subi un triple pontage coronarien en 2003. Bref sur ces images il y avait comme l'image d'un occidental plutôt remis en forme ou, autrement dit, allégé de sa surcharge pondérale.

Que la science officielle ne s'intéresse pas officiellement aux Ovnis et autres phénomènes inexpliqués est évident. Deux raisons :
- La crainte, fondée ou infondée, des tenants des pouvoirs qui ne veulent pas inquiéter les masses.
- L'impuissance totale des chercheurs rationnels de la science établie devant le phénomène, une impuissance qui n'est pas de nature à leur faire obtenir des budgets par les politiques. Sauf les militaires, qui voudraient tirer profit. Ce qui donne une bonne idée du fin fond de la motivation humaine.

Utilisant les minéraux lunaires ramenés par les cosmonautes des missions Apollo Américaines on a fait des essais en serre. Un bac témoins avec de la terre "terrestre" et un bac avec un mélange de plus de 50% de terre "lunaire". Il s'est avéré que le bac lunaire a montré des résultats de fertilité très sensiblement supérieurs par rapport au bac avec matériaux terrestres. Comme si il y avait une sorte de potentialité cosmique en attente dans cette manière minérale non utilisée depuis des milliards d'années.

Le but de ce logiciel devrait être, dans l'idéal - et on espère à plutôt long terme, de mettre de l'organique dans le mécanique. En collectant, croisant et mémorisant de manière raffinée tous ces sentiments/descriptions du réel humain pour en faire le meilleur usage ensuite, les machines seront mieux à même d'interagir de manière extrêmement fine avec tout organisme post végétal-animal, conscient de la situation fugace et transitoire de son existence. De la difficulté des interactions entre un robot immortel et des entités instables et superficielles.

Enfants nous allions souvent passer quelques jours chez des amis de maman, des gens pas à plaindre puisqu'ils habitaient une propriété "les pieds dans l'eau" près de Genève, avec petit port privé et 5 ou 6 bateaux. Le rêve pour des mômes qui, l'espace de quelques jours pouvaient se la jouer millionnaires. Ceci me revient en mémoire parce qu'en ces journées de fin d'août, où la lumière amorce nettement son déclin, le propriétaire des lieux* sortait invariablement cette formule. 

- L'été s'casse le nez...

C'est un type, dans un restaurant, qui est atteint d'une diarrhée aussi puissante que soudaine. Il se rue vers les WCs - Il a trois étages à descendre - et, arrivé devant la porte, constate que c'est occupé. Il tente alors d'attendre, de tenir quelques secondes supplémentaires. Puis, n'y tenant plus, se met à taper contre la porte tout en disant. - S'il vous plait, dépêchez-vous, j'ai la courante.



Une petite voix pincée lui répond alors. - Vous avec de la chance.

Suis en train de lire des textes sur les effets d'Internet, décrit comme monde "virtuel". Concernant ce terme je fais des recherches sur mes sites de synonymes (j'en utilise une dizaine). Virtuel n'est jamais connecté au terme "immatériel". J'y vois là un défaut sémantique, pour ne pas dire sémiotique.
Effet d'un faux raisonnement, d'une fausse impression ?
Parce que même si le Net se réfère pour bonne partie à notre réalité tangible, il s'agit bien d'un espace empli d'objets qui n'existent ici que sous forme d’impulsion électriques.