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détermination
Dans cette histoire [la fable des disques blancs et des disques noirs], un couple de signes distinctifs, blanc ou noir, permet de discriminer le rapport d’un sujet avec deux autres. Chaque sujet se repère en se référant à la recherche que font ces deux autres en fonction de ce qu’ils voient de lui-même et de l’un d’entre eux. Les trois passent par une succession d’oscillations synchrones qui finit par les déterminer de façon conclusive à ce que j’appellerai ici un Wahl, un choix fondamental, par quoi chacun décide de ce qu’il est effectivement, blanc ou noir, et s’avère prêt à le déclarer, ce pour quoi la fable est construite.
Eh bien, n’est-ce pas là ce qui nous est familier dans la structure de la pulsion ?
Nous y trouvons l’identification relative, la dénégation, le refus d’articuler, la défense, qui sont aussi cohérents avec la pulsion que l’envers et l’endroit d’une même chose. L’affaire se conclut par une décision qui devient pour le sujet la marque de ce que, en fait, il fait toujours le même choix, dans les mêmes situations. Ce pouvoir de répétition, nous l’appelons selon les sujets comme nous pouvons – une tendance masochiste, un penchant à l’échec, le retour du refoulé, l’évocation fondamentale de la scène primitive – il ne s’agit que d’une seule et même chose, la répétition, dans le sujet, d’un type de sanction dont les formes dépassent de beaucoup les caractéristiques du contenu.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, page 466
[
inconscient
]
peinture
[…] .il faut que vous imaginiez les croquenots du professeur D. […] pour que vous commenciez à voir vivre les croquenots de VAN GOGH dans leur incommensurable qualité de beau. C’est-à-dire qu’ils sont là, qu’ils nous font un signe d’intelligence si je puis dire, situé très précisément à cette égale distance qu’on vous a indiquée la dernière fois : entre la puissance de l’imagination et le signifiant.
Que ce signifiant n’est même plus là un signifiant de la marche, de la fatigue, de tout ce que vous voudrez, de la passion, de la chaleur humaine, il est seulement signifiant de ce que signifie une paire de croquenots abandonnée, c’est-à-dire à la fois d’une présence et d’une absence pure : une chose, si l’on peut dire, inerte, qui est faite pour tous, une chose, par certains côtés - toute muette qu’elle est - qui parle, une empreinte qui émerge à la fonction de l’organique, et pour tout dire, d’un déchet qui évoque le commencement d’une génération spontanée. C’est ce quelque chose qui fait de ces croquenots une sorte d’envers et d’analogue d’une paire de bourgeons qu’il s’agit, comme par magie, de faire que pour nous ce n’est pas de l’imitation. Et c’est cela qui a toujours trompé les auteurs de la paire de croquenots, la saisie de ce quelque chose par quoi, de par leur position dans un certain rapport temporel, ils sont eux-mêmes la manifestation visible du beau.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
22 juin 1960
[
universel-singulier
]
[
nature morte
]
[
beauté
]
[
trouble
]
signifiant de la phobie
Il est l’élément autour de quoi tourneront toutes sortes de significations qui formeront en fin de compte un élément suppléant à ce qui a manqué au développement du sujet, c’est-à-dire aux développements qui lui ont été fournis par la dialectique de l’entourage où il est immergé. Mais ce n’est possible qu’imaginairement. [...]
Le sujet en choisit une [de forme] pour remplir une fonction bien précise, celle d’assurer la stabilisation momentanée de certains états – dans le cas présent, de l’état d’angoisse. Pour remplir la fonction de transformer cette angoisse en peur localisée, le sujet choisit une forme qui constitue un point d’arrêt, un terme, un pivot, un pilotis, autour de quoi s’accroche ce qui vacille, et que menace d’emporter le courant intérieur issu de la crise de la relation maternelle. [...]
C’est un point autour duquel le sujet peut continuer à faire tourner ce qui, autrement, se déclarerait dans une angoisse impossible à surmonter. [...]
Dans la mesure où ce signifiant est là en tant qu’il correspond métaphoriquement au père, il permet que s’accomplissent tous les transferts, toutes les transformations nécessaires de tout ce qui est compliqué et problématique dans la relation inscrite sur la ligne du bas – à savoir la mère, la fonction phallique et l’enfant – qui nécessite à chaque fois, par rapport à la mère réelle, un triangle distinct. Il faut pour cela un terme qui soit immaîtrisable pour l’enfant, qui fasse peur, et même qui morde.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, pages 561-562
[
modalité de suppléance
]
[
carence de la fonction paternelle
]
concept psychanalytique
Chaque fois qu’un état de besoin est suscité, le principe du plaisir tend à provoquer un réinvestissement dans son fond entre guillemets - puisqu’à ce niveau métapsychologique il ne s’agit pas de clinique - un réinvestissement hallucinatoire de ce qui a été antérieurement hallucination satisfaisante. C’est en cela que consiste le nerf diffus du principe du plaisir. Le principe du plaisir tend au réinvestissement de la représentation et donne aux Vorstellungen [représentations] une forme satisfaisante. L’intervention de ce qu’il [Freud] appelle principe de réalité peut donc être tout à fait radicale, elle n’est jamais qu’une seconde étape.
[…] L’appareil psychique, tel qu’il est décrit en somme à partir de son expérience de ce qu’il a vu surgir d’irréductible, du fond des substitutions hystériques, est ceci : c’est que la première chose que peut faire l’homme démuni, lorsqu’il est tourmenté par le besoin, est de commencer par halluciner sa satisfaction, et il ne peut rien faire d’autre que contrôler. Par bonheur il a fait en même temps à peu près les gestes qu’il fallait pour se rapprocher de la zone où cette hallucination coïncide avec un réel approximatif.
Voilà de quelle espèce de départ de misère, toute la dialectique de l’expérience, en termes freudiens - si l’on veut respecter les textes fondamentaux - s’articule. C’est ce que je vous ai dit en parlant du rapport du principe du plaisir et du signifiant. Car les Vorstellungen, d’ores et déjà, à l’origine, ont le caractère d’une structure signifiante.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
3 février 1960
[
manque
]
[
suppléance
]
civilisation
Si la société entraîne par son effet de censure une forme de désagrégation qui s’appelle la névrose, c’est dans un sens contraire d’élaboration, de construction, de "sublimation", disons le mot, que peut se concevoir la perversion quand elle est produit de la culture. Et si vous voulez, le cercle se ferme : la perversion apportant des éléments qui travaillent la société, la névrose favorisant la création de nouveaux éléments de culture. Cela n’empêche pas - toute sublimation qu’elle soit - que l’amour grec reste une perversion. Nul point de vue culturaliste n’a ici à se faire valoir. Il n’y a pas à nous dire que sous prétexte que c’était une perversion reçue, approuvée, voire fêtée, que ce n’était pas une perversion. L’homosexualité n’en restait pas moins ce que c’était : une perversion.
Que vouloir nous dire - pour arranger les choses - que si nous, nous soignons l’homosexualité c’est que de notre temps l’homosexualité c’est tout à fait autre chose, ce n’est plus à la page, et qu’au temps des grecs par contre elle a joué sa fonction culturelle et comme telle est digne de tous nos égards, c’est vraiment éluder ce qui est à proprement parler le problème. La seule chose qui différencie l’homosexualité contemporaine à laquelle nous avons affaire et la perversion grecque - mon Dieu - je crois qu’on ne peut guère la trouver dans autre chose que dans la qualité des objets. Ici, les lycéens sont acnéiques et crétinisés par l’éducation qu’ils reçoivent.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
23 novembre 1960
[
individuel-collectif
]
[
gay
]
structuration du langage
[…] la métonymie est au départ, et c'est elle qui rend possible la métaphore. Mais la métaphore est d'un autre degré que la métonymie. […]
Anna Freud endormie […] parle dans son sommeil - Grosses fraises, framboises, flans, bouillies.
Voilà quelque chose qui a l’air d’être du signifié à l’état pur. Et c'est la forme la plus schématique, la plus fondamentale, de la métonymie. Sans aucun doute, elle les désire, ces fraises, ces framboises. Mais il ne va pas de soi que ces objets soient là tous ensemble. Qu'ils soient là, juxtaposées, coordonnés dans la nomination articulée, tient à la fonction positionnelle qui les met en position d'équivalence. C’est le phénomène essentiel.
S’il y a bien quelque chose qui nous montre indiscutablement qu’il ne s’agit pas là d’un phénomène d’expression pur et simple, qu’une psychologie, disons jungienne, nous ferait saisir comme un substitut imaginaire de l’objet appelé, c’est précisément parce que la phrase commence par quoi ? Par le nom de la personne, Anna Freud. C’est une enfant de dix-neuf mois, et nous sommes sur le plan de la nomination, de l’équivalence, de la coordination nominale, de l'articulation signifiante comme telle. C'est seulement à l'intérieur de ce cadre [métonymique] qu'est possible le transfert de signification [métaphore].
C'est le cœur de la pensée freudienne. L'œuvre commence par le rêve, ses mécanismes de condensation et déplacements, de figuration, ils sont tous de l'ordre de l'articulation métonymique, et c'est sur ce fondement que la métaphore peut intervenir.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Dans le "Séminaire, Livre III", "Les psychoses", éditions du Seuil, 1981, pages 361-362
[
grammaire
]
[
inconscient
]
[
psychanalyse
]
[
contiguïté
]
théâtre
Hamlet a dû être joué pour la première fois, à Londres, pendant la saison d’hiver 1601 – sans qu’on en soit absolument sûr, mais enfin, selon les recoupements les plus rigoureux. La fameuse première édition in-quarto du texte a été quasiment à l’époque ce que l’on appelle une édition pirate, à savoir qu’elle n’avait point été faite sous le contrôle de l’auteur, mais avait été empruntée à ce que l’on appelait les prompt-books, les livrets à l’usage du souffleur. Cette édition [...] est restée inconnue jusqu’en 1823, lorsqu’on a enfin mis la main sur un de ces exemplaires sordides, ce qui tient à ce qu’ils ont été beaucoup manipulés, emportés, probablement aux représentations. Et l’édition in-folio, la grande édition de Shakespeare, n’a commencé à paraître qu’après sa mort, en 1623, précédant la grande édition où l’on trouve la division en actes, ce qui explique que la division en actes soit beaucoup moins décisive et claire dans Shakespeare qu’ailleurs. En fait, on ne croit pas que Shakespeare ait songé à diviser ses pièces en cinq actes. Cela a son importance, parce que nous allons voir comment se répartit Hamlet.
L’hiver 1601, c’est deux ans avant la mort de la reine Élisabeth, et on peut considérer approximativement que la césure capitale que marque Hamlet entre deux versants de la vie du poète, redouble, si l’on peut dire, le drame de la jointure entre deux époques du royaume, car le ton change complètement lorsque apparaît sur le trône Jacques Ier.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, pages 297-298
[
historique
]
[
contexte
]
[
adaptation
]
psychanalyse
L’analyse n’est pas une simple reconstitution du passé, l’analyse n’est pas non plus une réduction à des normes préformées, l’analyse n’est pas un épos, l’analyse n’est pas un éthos. Si je devais la comparer à quelque chose, ce serait à un récit qui serait lui-même le lieu de la rencontre dont il s’agit dans le récit.
Le problème de l’analyse réside dans la situation paradoxale où se trouve le désir de l’Autre que le sujet a à rencontrer, notre désir, qui n’est que trop présent dans ce que le sujet suppose que nous lui demandons. En effet, le désir de l’Autre qu’est pour nous le désir du sujet, nous ne devons pas le guider vers notre désir, mais vers un autre. Nous mûrissons le désir du sujet pour un autre que nous. Nous nous trouvons dans la position paradoxale d’être les entremetteurs du désir, ou ses accoucheurs, ceux qui président à son avènement. [...]
Sans doute l’analyse est-elle une situation où l’analyste s’offre comme support à toutes les demandes et ne répond à aucune, mais est-ce seulement dans cette non-réponse – qui est bien loin d’être une non-réponse absolue – que se trouve le ressort de notre présence ? Ne faut-il pas faire une part essentielle à un élément qui est immanent à la situation, et qui se reproduit à la fin de chaque séance ? J’entends, ce vide auquel notre désir doit se limiter, cette place que nous laissons au désir pour qu’il s’y situe – bref, la coupure.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, page 572
[
difficulté
]
[
distanciation
]
[
sans mémoire sans désir
]
réflexivité révolutionnaire
Si l’inconscient est bien ce dont je vous ai dit aujourd’hui le support, à savoir un savoir, c’est que tout ce que j’ai voulu vous dire cette année à propos des non-dupes qui errent, ça veut dire que : qui n’est pas amoureux de son inconscient erre.
Ça ne dit rien du tout contre les siècles passés.
Ils étaient tout autant que les autres amoureux de leur inconscient et donc, ils n’ont pas erré.
Simplement, ils ne savaient pas où ils allaient, mais pour être amoureux de leur inconscient, ils l’étaient !
Ils s’imaginaient que c’était la connaissance.
Car il n’y a pas besoin de se savoir amoureux de son inconscient pour ne pas errer, il n’y a qu’à se laisser faire, en être la dupe.
Pour la première fois dans l’histoire, il vous est possible, à vous d’errer, c’est-à-dire de refuser d’aimer votre inconscient, puisqu’enfin vous savez ce que c’est : un savoir, un savoir emmerdant.
Mais c’est peut-être dans cette erre, e, deux r, e, vous savez, ce truc qui tire, là, quand le navire se laisse balancer — c’est peut-être là que nous pouvons parier de retrouver le Réel un peu plus dans la suite, nous apercevoir que l’inconscient est peut-être sans doute dysharmonique, mais que peut-être il nous mène à un peu plus de ce Réel qu’à ce très peu de réalité qui est la nôtre, celle du fantasme, qu’il nous mène au-delà : au pur Réel.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
Séance du 11 juin 1974 "Les non-dupes errent"
[
lucidité
]
[
distanciation
]
[
négation créatrice
]
psychanalyse
Revenons maintenant au livre qu'on appelle : La science des rêves (Traumdeutung), mantique plutôt, ou mieux signifiance.
Freud ne prétend pas du tout y épuiser du rêve les problèmes psychologiques. Qu'on le lise pour constater qu'à ces problèmes peu exploités (les recherches restent rares, sinon pauvres, sur l'espace et le temps dans le rêve, sur son étoffe sensorielle, rêve en couleur ou atonal, et l'odorant, le sapide et le grain tactile y viennent-ils, si le vertigineux, le turgide et le lourd y sont?), Freud ne touche pas. Dire que la doctrine freudienne est une psychologie est une équivoque grossière.
Freud est loin d'entretenir cette équivoque. Il nous avertit au contraire que dans le rêve ne l'intéresse que son élaboration. Qu'est-ce à dire? Exactement ce que nous traduisons par sa structure de langage. Comment Freud s'en serait-il avisé, puisque cette structure par Ferdinand de Saussure n'a été articulée que depuis? Si elle recouvre ses propres termes, il n'en est que plus saisissant que Freud l'ait anticipée. Mais où l'a-t-il découverte? Dans un flux signifiant dont le mystère consiste en ce que le sujet ne sait pas même où feindre d'en être l'organisateur.
Le faire s'y retrouver comme désirant, c'est à l'inverse de l'y faire se reconnaître comme sujet, car c'est comme en dérivation de la chaîne signifiante que court le ru du désir* et le sujet doit profiter d'une voie de bretelle pour y attraper son propre feed-back.
Le désir ne fait qu'assujettir ce que l'analyse subjective.
Auteur:
Lacan Jacques
Années: 1901 - 1981
Epoque – Courant religieux: récent et libéralisme économique
Sexe: H
Profession et précisions: psychanalyste
Continent – Pays: Europe - France
Info:
La direction de la cure et les principes de son pouvoir. (* que charrie le ru du désir et qui échappe au sujet, fait rencontre, résonance avec l'autre et se concrétise avec l'enfant. Ajout de Mg )
[
courants contradictoires
]
[
effets
]