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chant du coq

(En principe le premier terme correspond à la phonétique pour un français. pour lles angues non latines (ex. japonais, chinois) : Les transcriptions sont adaptées en alphabet latin pour faciliter la prononciation pour tous, y compris les francophones.)

Albanais: Ki-ki-ri-ki

Allemand: Ki-ké-ri-ki  Les "ki" sont simples à dire en français (comme kiwi ), et le "re" s'approche de la syllabe française rêve . "Ki-ké-ri-ki" (rythme musical).

Anglais:  Cock-a-doodle-do (ko-ka-dou-dle-dou)

Basque: Kou-kou-rou-kou

Biélorusse: Kou-ka-ré-kou

Breton: Ko-ke-li-ké-lo, Ko-ké-rik, Ko-ko-kog, Ko-to-gog, Kog-ko-gog, kékelé

Bulgare: Kou-kou-ri-gou

Catalan: Ki-ki-ri-kik, Kèk-kè-ré-kèk, Kik-ka-ra-kik, Ka-ka-ra-kak, Ko-ko-ro-kok, Kou-kou-rou-kouk

Croate: Kou-kou-ri-kou

Danois: Ku-ké-li-ku, koukélikou

Espagnol: Ki-ki-ri-ki,   Quiquiriquí

Estonien: Ki-ké-ri-kii, Kou-ké-lé-gou

Féroïen: Kak-kou-la-ra-ko

Finnois: Kouk-ko kié-kou,  Kukkokiekuu 

Gaélique irlandais: Kouk-a-dou-dal-dou

Grec: Ki-ki-ri-kou, Koukourikou

Hongrois: Kou-kou-ri-kou, Kou-ko-ri-kou, Kukuriku

Islandais: Ga-ga-la-go, Gaggalagaggalagó est très long et presque musical 

Irlandais: Kok-euh-dou-deul-dou

Italien: Kik-ki-ri-ki,  chicchirichì... Le "chi" se prononce "ki" (comme chiens ), et les " i " sont courts. (accent tonique sur le dernier "ki").   

Letton: Ki-ké-ri-gou

Lituanien: Ka-ka-ri-kou, Ka-ka-rié-kou

Luxembourgeois: Kok-a-di-del-dou

Macédonien: Kou-kou-ri-kou

Maltais: Kou-ké-ri-kou

Néerlandais: Kou-ke-le-kou, Kukeleku

Norvégien: koukélikou, Ku-ké-li-ku

Occitan: Ka-ka-ra-ka, Ka-ka-la-ka, Ki-ki-ri-ki

Polonais: Kou-kou-ri-kou, Kukuryku

Portugais: Ko-ko-ro-ko (Portugal), Ko-ko-ro-ko-ko-ko-o-o-o (Brésil)

Roumain: Kou-kou-ri-gou, Cucurigu (ku-ku-ri-gu)

Russe: Kou-ka-ré-kou

Serbe: Kou-kou-ri-kou

Slovaque: Ki-ki-ri-ki

Slovène: Ki-ki-ri-ki

Suédois: Kou-ké-li-kou, Kuckeliku

Swahili – Koko-ri-kookoo (ko-ko-ri-ko-ko)

Tchèque: Ki-ki-ri-ki

Turc: U-ru-u-uu, Kouk-kou-ri-kou-uu ou-ourrou-ou (Ü-ürrü-ü ressemble à un roulement de gorge.) à éclaircir

Ukrainien: Kou-kou-ri-kou, Koo-kou-ri-koo

Vietnamien: O-o-o-o,   Ò ó o o (o-o-o-o) à éclaircir

Gallois: Kok-a-doudl-dou, Go-go-go

 Afrikaans: Kou-ke-lou-kou

Arabe: (standard)  صقاع  Siqaa’, si-kaa, Si-yah 

Arabe Marocain Arabe: Kou-kou-kou, Kou-kou-kou, Kou-kou-ri kou, Kou-kou-ou

Arménien: Tsou-ghrou-ghou, Kou-kou-ri-kou

Bengali: Kouk-kou-rouk-kooo

Chinois Mandarin:  咕咕咕  (Gū gū gū)  ouo-ouo-ouo, O-o-o, Gou-gou-gou  

Chinois Cantonais :  唂唂唂  gougou-gou (Gū gū gū) 

Coréen: Ko-kki-o, Ko-ki-yo ko-ko, Ko-ko-dek ko-ko 

Hawaïen – Kokoko-kooo (ko-ko-ko-kooo)

Hébreu: Kou-kou-ri-kou  

Hindi: Kou-krou-kou, Kou-krou-kou, Kou-kou-dou-kou, (kuk-du-kuu)

Indonésien: Kou-kou-rou-youk,  Kukuruyuk (ku-ku-ru-yuk)

Espéranto : kokériko

Japonais: Ko-ké-kok-ko, Ko-ké-kok-ko 

Malayalam: Ko-ka-rak-koo

Marathi: Kou-koutch-kou

Népalais: Kou-khou-ri kaa

Persan: Gou-gou-li gou-gou

Philippin (Tagalog): Tik-ti-la-ok, Kou-ka-ok

Singhalais: Kouk-kou kouk kou

Tamoul: Ko-ka-rak-ko

Télougou: Ko-ko-ro-ko

Thaï: (เอ้ก-เอ้ก-เอ้ก-เอ้ก)  Ék-i-ék-ék, Ake-e-ake-ake, ce qui est très différent des langues européennes. 

Haïtien Créole: Kou-kou-you-kou 

Kikongo: Ko-ko-di-a-ko

Malgache: Ka-ka-ka ko

Soudanais: Kong-ko-rong-ok

Maori: Kao-kao

Quechua (langue indigène d’Amérique du Sud) Kakaraa (ka-ka-raa) court et percussif. 


Auteur: Internet

Info: compil de divers sources et IAs

[ onomatopée ] [ translangue ]

 

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microbiologie

Une Révolution Silencieuse dans la Biologie Cellulaire

Depuis plus d'un siècle, les manuels de biologie enseignent que la division cellulaire – ce ballet fondamental de la vie – obéit à un schéma immuable : une cellule-mère sphérique se sépare en deux cellules-filles identiques, dans une symétrie presque parfaite. Or, une découverte récente, publiée dans la prestigieuse revue Science, vient bouleverser ce dogme et invite à réécrire les fondements mêmes de la biologie cellulaire.

La Forme, Maîtresse du Destin Cellulaire

Les chercheurs ont observé, d'abord chez le poisson-zèbre, puis en laboratoire sur des cellules humaines, que la division cellulaire n'est pas toujours un acte de duplication fidèle. Lorsque la cellule-mère est courte et large, elle s'arrête pour donner naissance à deux jumelles identiques. Mais si elle est allongée, elle conserve sa forme et engendre deux cellules-filles différentes, tant par leur taille que par leur destinée fonctionnelle. Cette division asymétrique, que l'on croyait réservée aux seules cellules souches, apparaît ainsi comme un mécanisme universel, clé de la diversité des tissus et des organes.

Le Micropatterning : L'Art de Sculpter la Vie

Pour sonder ce phénomène, les scientifiques ont eu recours à une technique de pointe, le "micropatterning", qui permet, grâce à un laser UV, de modeler la forme des cellules à volonté. Ils ont ainsi démontré que la morphologie initiale de la cellule-mère détermine le mode de division : une cellule allongée, par exemple, opte pour une division isomorphe, conservant ses asymétries de forme et de contenu tout au long de la mitose.

Des Conséquences Vertigineuses

Les implications de cette découverte sont majeures. En médecine, elle éclaire d'un jour nouveau la progression du cancer, où les divisions asymétriques pourraient favoriser la dissémination des cellules tumorales. En biologie régénérative, elle ouvre la voie à un contrôle plus fin de la différenciation cellulaire, permettant d'orienter le destin des cellules-filles selon les besoins thérapeutiques.

Vers une Nouvelle Génération de Manuels

Ce bouleversement invite à repenser l'enseignement de la biologie : la division cellulaire n'est plus un simple acte de duplication, mais un processus plastique, influençant par la forme et le contexte. Les chercheurs poursuivent désormais leurs investigations sur d'autres types cellulaires, pressant que cette règle pourrait s'appliquer à l'ensemble du vivant.

En somme, cette découverte, discrètement mais fondamentale, nous rappelle que la vie ne se laisse jamais enfermer dans des schémas figés. Elle évolue, s'adapte, et nous oblige sans cesse à réinventer notre regard sur le monde du vivant.

Auteur: Internet

Info: https://www.techno-science.net/ - Cédric Depond, 7 mai 2025, synthèse littéraire par perplexity.ia

[ morphodynamique ]

 

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pouvoir

Dette mondiale : la prochaine crise proviendra de la flambée de l’endettement
Si la grande récession de 2008 n’a pas basculé en grande dépression comme celle de 1929, c’est grâce aux amortisseurs sociaux mis en place au lendemain de la Seconde Guerre mondiale (indemnisation chômage, transferts de revenus, etc.). En outre, les Etats, incités par le G20 et le Fonds monétaire international (FMI), ont appuyé sur l’accélérateur. Tous les grands pays ont augmenté leurs dépenses favorisant un rebond conjoncturel très net. La contraction de l’industrie mondiale a, en effet, été violente et en parfaite ligne avec la crise de 1929. Mais la comparaison s’arrête là avec le rebond apparu dès 2009.
Le prix à payer a été élevé. La dette publique a flambé, pour atteindre des niveaux inconnus jusqu’alors. La France frôle le niveau record de 100 % du PIB, contre à peine plus de 60 % en 2007. En Italie, elle atteint 130 % du PIB depuis des années, obligeant les gouvernements qui se sont succédé à maintenir un large excédent public primaire (hors paiements d’intérêts). Et, pourtant, l’Italie était traitée de passager clandestin pendant la crise pour son manque d’ambition à relancer l’activité. Un comble !
Deux fois et demie le PIB
Il aura fallu dix ans pour que tous les pays de la zone euro voient leur déficit revenir sous la barre des 3 % du PIB, l’un des critères européens. Ces contraintes imposées sont essentielles pour permettre aux Etats de répondre à une nouvelle crise.
L’endettement n’est pas que public. La dette privée est aussi sur la sellette. En France, le secteur privé non financier continue de croître, pour atteindre 130 % du PIB au premier trimestre 2018 (58,4 % pour les ménages et 72,7 % pour les sociétés non financières, selon les chiffres publiés mardi par le Haut Conseil de stabilité financière, HCSF).
Au niveau mondial, la dette totale a atteint 260 % du PIB. Une partie est entre les mains d’acteurs financiers dérégulés, le shadow banking. Ces intermédiaires ont vu leur activité s’envoler avec le durcissement de la réglementation bancaire auquel ils échappent. Il ne faut pas croire que les produits structurés à l’origine de la crise des subprimes aient disparu, ils ont surtout changé de forme et de mains.
C’est en Chine que les craintes sont les plus fortes. La dette, très élevée, est concentrée dans les entreprises d’Etat. Des efforts ont été réalisés, mais insuffisamment aux yeux des experts. C’est une des raisons pour laquelle les capitaux retournent très rapidement aux Etats-Unis (fly to quality) en cas de montée des tensions. Internet,

Auteur: Internet

Info: INVESTIR.FR, 19 sept 2018

[ créanciers ] [ occultes ]

 

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mémorisation

Comment le cerveau sélectionne les souvenirs qu'il veut garder

C'est loin de n'être que du travail nocturne

La nuit, pendant que nous nous reposons, notre cerveau s'active. Il trie les souvenirs de la journée, en stocke certains dans la mémoire à long terme, en supprime d'autres jugés inutiles. Il révise, assimile, nettoie ses toxines et sa mémoire de travail. Dormir permet aussi de reposer notre hippocampe, cette région responsable du fonctionnement de la mémoire et des apprentissages.

En bref: le cerveau travaille dur. Seulement, des chercheurs se sont récemment demandé comment ce dernier faisait pour sélectionner et organiser nos souvenirs. Dans une récente étude publiée par la revue Science, ils ont mis en évidence la façon dont notre cerveau ne les assimile pas seulement la nuit mais le fait aussi au cours de la journée. Lors de phases jugées au ralenti, il commence alors un " pré-tri " de nos souvenirs.

Par l'émission d'ondulations cérébrales, nos neurones se rassemblent et créent des ondulations dites aiguës qui viennent indiquer au cerveau les souvenirs jugés importants, ou non. Ce sont ces informations qui seront ensuite triées dans la soirée. Ces ondulations aiguës nous obligent à condenser notre collection de souvenirs pour mieux les trier par la suite.

Des pauses fondamentales

Ainsi, une fois que nous dormons, le cerveau va plus facilement découper les expériences de la journée pour venir les combiner avec d'autres, pour enfin en supprimer certaines, ou en garder d'autres, créant ainsi nos souvenirs. " De nombreuses parties de nos expériences de la veille sont découpées et liées à d'autres expériences dans l'hippocampe ", explique l'auteur principal de l'étude, György Buzsáki, professeur de neurosciences à la faculté de médecine de l'université de New York. 

Pour que le cerveau puisse correctement faire son tri en journée, il faut pouvoir lui offrir des moments de pause. Une session de jogging ou un café permettent par exemple de mieux se souvenir des connaissances ou compétences que l'on vient d'emmagasiner. Lors de ces moments, notre cerveau effectue un travail de collecte et de stockage, ce qui permet de comprendre le mécanisme par lequel tout cela s’assemble.

Au micro d'Europe 1, la neuropsychologue Sophie Chokron conseille également une courte sieste, après le déjeuner par exemple, pour reposer notre cerveau. Selon elle, lors de ces phases de suspens, " notre cerveau consolide tout ce que nous avons appris, associe des idées et renforce nos souvenirs ". Mais attention à ne pas dépasser trente minutes de sieste, détaille-t-elle: ensuite, " le cerveau est trop inactif, et donc, il y a un risque de déclin cognitif ".



 

Auteur: Internet

Info: Discover magazine - Mona Delahais - 22 mai 2024

[ mécanisée ] [ science ]

 

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sciences dures

La physique fondamentale est confrontée à un ralentissement des progrès. Après les découvertes révolutionnaires du XXe siècle, comme la relativité générale et la théorie quantique, le début du XXIe siècle a surtout confirmé ces théories sans apporter de nouvelles percées majeures. Les physiciens reconnaissent que leur compréhension des lois de la nature est incomplète. Ils ne savent pas pourquoi certaines particules ont une masse, ce qui maintient les galaxies ensemble, ou quelle énergie provoque l'expansion de l'univers. Le plus grand défi est l'échelle : les physiciens manquent d'équations pour décrire les événements se déroulant à des échelles extrêmement petites, comme celles impliquées dans la formation des trous noirs.

Limites des Expériences Actuelles

Les physiciens des particules ont repoussé les limites de leur ignorance en utilisant des accélérateurs de particules, comme le Grand collisionneur de hadrons (LHC) en Europe. Cependant, construire des accélérateurs encore plus grands pour explorer des échelles plus petites pose des défis financiers et technologiques considérables. Bien que des expériences non basées sur des collisionneurs cherchent des déviations subtiles par rapport aux prédictions, les physiciens se heurtent à des limites similaires à mesure que leurs expériences deviennent plus complexes.

Nouvelles Approches : L'Astrophysique

Face à ces défis, les physiciens se tournent vers l'astrophysique pour trouver des indices sur les lois fondamentales de la nature. Les événements cosmiques, tels que les explosions d'étoiles et les collisions de trous noirs, sont beaucoup plus extrêmes que ce qui peut être recréé en laboratoire.

Ondes Gravitationnelles

Une des pistes prometteuses est la détection des ondes gravitationnelles, des ondulations dans l'espace-temps causées par des événements cataclysmiques. Les chercheurs espèrent que le projet LISA (Laser Interferometer Space Antenna), prévu pour les années 2030, détectera des ondes gravitationnelles générées juste après le Big Bang, offrant un aperçu des lois physiques à cette époque.

Cartographie des Galaxies

Une autre approche consiste à cartographier les galaxies pour étudier la distribution des particules quantiques après le Big Bang. Cette analyse pourrait révéler des événements quantiques qui ont eu lieu à l'aube de l'univers.

Mystères Actuels

Les physiciens étudient également des phénomènes inexplicables dans l'univers moderne, comme une explosion lumineuse observée en 2022, qui pourrait impliquer des particules de matière noire.

Conclusion

Décoder ces indices subtils de nouvelle physique dans le cosmos demandera des années de théorisation, de planification, d'observation et d'analyse. Cependant, avec un peu de chance, cela pourrait conduire à une nouvelle révolution en physique. L'article souligne l'importance de l'astrophysique comme nouvelle frontière pour explorer les lois fondamentales de la nature.

Auteur: Internet

Info: Quanta Magazine, Why the Next Physics Revolution Might Come From Above By Charlie Wood, august 2et résumé : perplexity.ai024. Trad

[ tour d'horizon ]

 

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humour

En 1944, les USA s'apprêtent à débarquer en Normandie et enrôlent à tour de bras pour garnir les troupes d'assaut. Des sergents recruteurs sillonnent le vaste pays et enrôlent le fils du chef indien, qui ne parle que le Comanche et ne comprend pas très bien ce qui lui arrive... 2 semaines d'instruction, un parachute sur le dos et hop, largué au-dessus de Ste Mère-Église au petit matin d'un jour de juin... Naturellement, notre jeune Comanche, peu habitué aux délicates manoeuvres d'un parachute de l'époque, dérive gravement et finit par se poser en pleine cambrousse, Complètement perdu, à des kilomètres ( 1 km = 0,6242197253433 mile) de son escadron. Surgit alors un brave paysan. Ébahi mais ravi de voir un G.I. celui-ci plante sa fourche dans le sol et essaie d'entamer la conversation. (La, il faut mimer, vous essayez de me suivre)
- Oh, un américain à c't'heure! Salut mon gars! t'es parachutiste ?
Évidemment, l'autre ne comprends rien et reste bouche bée. le paysan met alors ses bras au dessus de sa tête, comme ça, vous voyez, en forme de parachute, et repose la question, sans succès.
Avec son index et son majeur, il représente un personnage entrain de marcher et demande : -t'es fantassin mon gars ? l'autre, un peu inquiet recule d'un pas sans mot dire.
Empoignant une mitrailleuse imaginaire, mais tressautant, il demande
- T'es mitrailleur peut-être ? L'autre, se plus en plus circonspect recule de 2 pas.
Dans une dernière tentative, le paysan place ses mains en cornet devant ses yeux, comme ceci, à la manière d'une paire de Jumelles et demande : - C'est-y qu't'es un éclaireur venu pour observer, des fois ? A ce moment, le G.I. affolé s'enfuit en courant. Déçu, notre brave paysan reprend sa fourche et s'en va de son côté en grommelant.
Heureusement, l'histoire se termine bien pour notre héros, qui, après une campagne victorieuse est démobilisé et réexpédié dans sa réserve natale. Arrivé dans son tipi, son grand sachem de père le questionne sur ses exploits guerriers et lui demande entre autre s'il fut un vaillant guerrier digne de ses ancêtres, n'ayant pas connu la peur.
L'ex-G.I. répond: - Jamais je n'ai connu la peur, sauf une fois: Le premier homme blanc de là-bas que j'ai rencontré, eh bien figure toi qu'il parlait comme nous! Et là, j'ai eu vraiment peur. Il m'a dit ( Attention, les gestes dans l'ordre)
- Quand frère soleil très haut dans ciel,
- Quand autres guerriers partis très loin,
- Je vais te défoncer le cul
- T'auras les yeux qui te sortiront de la tête.

Auteur: Internet

Info:

[ absurde ]

 

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anti développement personnel

Tout va trop vite, tout s’accélère, tout se fait dans l’urgence et rien ni personne ne peut attendre. C’est le constat que chacun d’entre nous pourrait faire : on a perdu le sens des priorités, notre attention est sans cesse sous pression, le stress est désormais la chose du monde la mieux partagée.
Face à cela, fleurissent les conseils pour prendre le temps, prendre SON temps, celui qui nous revient, qui nous permet de suspendre le cours des choses et de hiérarchiser les tâches à accomplir, celui qui nous permet de nous retrouver et de remettre du sens à ce désordre.

Mais vous ne trouvez pas cela paradoxal ? Comment prendre du temps alors qu’on en manque ? Comment ajouter une chose à faire parmi tout ce que l’on a déjà à faire ? A quel moment de ma journée intercaler ma suspension du temps ?

Voici ma question : à quel moment de la journée vais-je pouvoir prendre le temps de suivre ma respiration ? A écouter les spécialistes de la méditation, souffler reviendrait littéralement à souffler. Et le faire provoquerait un changement non pas dans le déroulé de ma journée, mais dans la manière de l’appréhender.
Tout serait d’ailleurs une question de manière, de regard, d’attitude. Ne changez pas le monde et sa vitesse, changez plutôt votre rapport au monde et votre tempo. On a souvent tendance ainsi à opposer le temps du monde qui s’accélère à notre temporalité subjective, l’un serait objectif, non-modifiable, implacable, quand l’autre serait malléable, plastique, à nous donc de nous soumettre à l’accélération infernale ou de nous en émanciper, à nous de faire en sorte de suivre le rythme ou de le freiner, de souffler ou pas.

Mais là est le problème : c’est encore une chose à faire, encore une décision à prendre, encore une case à cocher, car il faut le dire : prendre son temps, résister au flot du monde, respirer, n’est pas seulement dur mais entretient l’illusion qu’on pourrait dominer la vitesse et le temps du monde… chose impossible.

Contre l’injonction à prendre son temps ou à le suivre parfaitement, voici donc ce que je propose, une troisième voie possible : être en retard.
Ni suspension du temps ni tempo millimétré, il faudrait développer toute une philosophie du retard, car seul le retard permet de tout faire tout en étirant le temps.
Etre en retard signifie bien que l’on a pris le temps, qu’on l’a étiré, qu’on en a profité, mais il ne signifie pas qu’on est dans l’illusion de l’arrêter.
Quand vous êtes en retard, vous regardez le temps filer, vous échapper, mais vous n’abdiquez pas, vous l’éprouvez.

Auteur: Internet

Info: https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-de-la-philo/le-journal-de-la-philo-du-vendredi-30-aout-2019

[ temps personnel ] [ gestion du temps ]

 

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Ajouté à la BD par Coli Masson

théologie

Quand la physique quantique nous mène à Dieu

Yves Dupont est l’auteur de “l’empreinte de Dieu dans le monde quantique”. En cette année 2025 consacrée par les Nations Unies “année internationale des sciences et technologies quantiques”, il apporte une lecture spirituelle à ses travaux scientifiques, dans la continuité de la réflexion menée par Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies dans “Dieu, la science, les preuves”.

Alors qu’un sondage de l'American Association for the Advancement of Science de 2009 affirme que 51 % de scientifiques croient en une entité supérieure, dont 33 % en Dieu, les scientifiques contemporains semblent vouloir apporter un nouveau regard sur la science à la lumière de la foi.

La physique, porte ouverte sur la métaphysique

Yves Dupont en est convaincu, la science se lit aussi par le prisme spirituel. Une certitude qui le pousse à envisager les entités comme incapables de s’auto-créer. “S'il y a des idées, c'est qu'il y a quelqu'un qui les pense”. Il faut, selon sa piste de réflexion, envisager la physique et les mathématiques comme une voie de réflexion vers l'infiniment grand et vers une conception spirituelle de la science. “On voit bien que derrière cette physique se greffent des entités non matérielles”. Celles-ci amènent naturellement vers une conception du mystère qu’Yves Dupont attribue à Dieu. “Ce que j'essaie de montrer, c'est qu'au-delà de la matière, il y a l'esprit, que j'appelle l'esprit omniscient”. Cette nouvelle façon de penser la science vise à envisager la religion non pas en tant que superstition vouée à l’échec, mais comme une grille de lecture du mystère de la création. 

S'il y a des idées, c'est qu'il y a quelqu'un qui les pense.

L’incarnation au sommet de la réflexion

Intégrer les questions métaphysiques dans la pensée scientifique revient à prouver la présence permanente de Dieu dans sa création. La question qui vient alors naturellement à l’esprit est la suivante : de quel Dieu s’agit-il ? Selon Yves Dupont, il s’agit bien du Dieu tel que le conçoivent les chrétiens, car c’est le propre du Christianisme que de considérer le mystère de l’incarnation. “À partir du moment où il y a un lien métaphysique entre le monde matériel et le monde de l'esprit, on est, je pense, très proche de la philosophie et théologie chrétienne, à savoir que Dieu intervient dans le monde”, souligne-t-il. L’auteur va plus loin en affirmant la vérité de l’incarnation. “C’est une réalité matérielle”, précise-t-il. Quoi de mieux qu’une réalité matérielle pour percer le mystère d’une entité immatérielle ? Une chose est sûre, pour Yves Dupont, la raison, c’est Dieu.


 

 

Auteur: Internet

Info: https://www.rcf.fr/, Constance Fiévet - RCF, le 2 juin 2025

[ rationalisme ] [ spiritualité ]

 

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sciences

Pourquoi un bruit strident de craie est-il insupportable ?
Des bruits stridents tels que celui d'une fourchette sur une assiette ou celui d'une craie sur un tableau provoquent chez la majorité des gens des réactions de frissonnement ou de chair de poule. L'étude menée par un chercheur de l'Institut de Musicologie de l'Université de Vienne et un chercheur de l'Université Macromedia pour les Médias et la Communication de Cologne révèle que cela est dû à la fois à des raisons psychologiques et à des raisons physiologiques.
Les fréquences moyennes sont en cause
Dans un premier temps, les chercheurs Christoph Reuter et Michael Oehler ont regroupé une centaine de volontaires afin de sélectionner les bruits stridents (ongles sur un tableau, fourchette sur une assiette...) les plus crispants. D'autres volontaires ont ensuite été soumis à cette sélection de sons au cours des expériences. Deux groupes ont été formés avec ces volontaires ; le premier a été informé qu'ils entendraient des extraits de musique moderne, l'autre groupe savait qu'il allait écouter des bruits de raclement.
Durant la lecture des sons, le niveau de stress des participants a été mesuré (sur la base de la pulsation, de la tension artérielle, de la température et de la résistance électrique de la peau), puis leurs avis concernant l'évaluation du bruit ont été recueillis. Il s'avère que ceux qui pensaient écouter de la musique ressentent les bruits de façon nettement moins désagréable ; mais les réactions corporelles liées au stress étaient cependant comparables dans les deux groupes.
Par la suite, les chercheurs ont modifié les sons avec un programme informatique, en enlevant ou amplifiant certaines fréquences ou en supprimant certaines parties. Il s'est avéré que ce sont principalement les fréquences du bruit comprises entre 2.000 et 4.000 Herz qui sont perçues comme désagréables: sans ces composantes, les bruits ne sont plus aussi mal ressentis. Une étude de 1986 par le chercheur Randolph Blake, lauréat du prix IgNobel en 2006 pour cette raison, avait déjà conclu que c'étaient principalement les bruits de fréquence moyenne qui provoquaient cette sensation.
Cette gamme de fréquence joue un rôle particulier dans la communication humaine: même les enfants en bas âge pleurent surtout dans cette gamme. Or le canal auditif humain, en raison de sa longueur et de sa forme, permet la résonance des sons de ces fréquences. Les chercheurs font donc l'hypothèse que le caractère désagréable des sons de raclement est encore renforcé par l'anatomie humaine. Ils envisagent à présent de mieux comprendre les spécificités de ces bruits, afin que les ingénieurs puissent réduire la nuisance causée par exemple par les aspirateurs ou les équipements de construction.

Auteur: Internet

Info: 23 nov 2011

[ écoute ] [ musique ]

 

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lectrices

F.D. : Il n'y a qu'à moi que ça arrive : j'ai adoré, j'ai dévoré un livre... et pourtant quelques temps après je ne m'en souviens plus, même pas le nom des personnages !

Marylin Fournier : Euh moi aussi, c’est pareil. Qu’est-ce que ce groupe est génial, c’est rassurant de savoir que l’on est pas seule  

Caroline Bayet : Moi aussi, ça m’arrivait! Alors je fais un livre de lecture! Cb est hyper sympa et pratique!

Nadine Riquoir : C'est pareil pour moi!! Peut-être qu on en lit tellement qu'on mélange tout, car dès un livre terminé... un autre prend le relais tout de suite !!

Erminia Antoinetta Alati : Merci pour ce post j'ai cru être la seule et avoir un problème de mémoire.

Wendy Stou : Pareil, je me souviens d'aucun, je sais juste que j'ai adoré l'histoire xD

Clarisse Rizet Prioux : Ah bah je suis rassurée alors je ne suis pas la seule 

Annie Coté Lucas : Pareil, je pense qu'il faudrait investir dans un cerveau plus performant 

Véronique Ramond : Pareil. Je vais me souvenir que j'ai aimé (ou non), de l'émotion. Ça va me revenir si je remets le nez dedans, mais je serais bien incapable de raconter l'histoire ou de me souvenir du nom des personnages qq semaines plus tard. Je me sens moins seule.

Lau Evanaelle : Ah mais tout mais tout pareil donc aucune inquiétude

Mireille Everaert : Je suis tellement contente de n' être pas du tout la seule d'avoir ce problème

Murielle Vallery : Ne vous inquiétez pas, vous n'êtes pas la seule. Je peux me rappeler un peu de l'histoire mais pas du tout des prénoms des personnages 

Catherine Desroches : Je me sens moins seule dans ce cas donc j'ai décidé de noter mes futures lectures dans un joli carnet déniché pendant mes vacances en Bretagne

Lamia Sta : je prends note des passages qui me parlent.

Nelly Clément : Mitou. C'est pourquoi je garde les livres. Un jour je les relirai 

Florence Dupont à Nelly Clément : je faisais ça aussi avant. Maintenant par manque de place et pour raison financière je préfère la bibliothèque !

Virginie Flament : Si ça peut vous consoler il m'arrive de devoir reprendre la lecture de mon livre à la 1ere page  et parfois plusieurs fois 

Laetitia Jaquet : Vous n'êtes pas seule je vous rassure 

Jacqueline Besoin : Moi idem

Stéph Anie Bui : Je suis également pareille 

etc, etc

Auteur: Internet

Info: Initié par Florence Dupont In le Groupe FB La Fureur De Lire. 23 juillet 202

[ oublieuses ]

 

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Ajouté à la BD par Le sous-projectionniste