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humour

Une fois en Amérique, Needleman redevint un objet de controverse. Il publia d'abord son fameux "Que Faire si le non-être vous attaque subitement ?" puis son oeuvre classique sur la philosophie linguistique "L'essence n'est pas essentielle pour fonctionner", qui fut portée à l'écran sous le titre "Trente Secondes à Tokyo".

Auteur: Allen Woody

Info: Destins tordus

[ absurde ] [ création ]

 

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humour

Ce négoce connaît un succès immédiat, et, dès 1850, Entwhistle est prospère, respecté et trompe sa femme avec un opossum femelle. Il a deux fils de Margaret Figg, l'un normal, l'autre débile léger bien qu'il soit difficile de faire la différence tant qu'on ne les a pas vus jouer au yo-yo.

Auteur: Allen Woody

Info: Destins tordus

[ absurde ] [ enfants ]

 

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hiérarchie

Selon moi, les trois meilleurs virtuoses du jazz sont Louis Armstrong, Sidney Bechet et Django Reinhardt. Personne ne leur arrive à la cheville question solos. Je crois que la musique de Django Reinhardt peut plaire à n'importe qui, de l'intellectuel au chauffeur de taxi. La beauté de sa musique est immédiatement perceptible.

Auteur: Allen Woody

Info: in lesinrocks.com, interview 2000

[ triade ] [ éloge ]

 

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fanatique

Et Abraham tomba à genoux : - Mais cela ne prouve-t-il pas que je T'aime ? J'étais prêt à tuer mon fils unique pour Te montrer mon amour... Et le Seigneur parla, en sa grande sagesse : - Ça ne prouve qu'une chose : que des crétins suivront toujours les ordres, si imbéciles soient-ils, pour peu qu'ils soient formulés par une voix autoritaire, retentissante et bien modulée !

Auteur: Allen Woody

Info: Dieu, Shakespeare... et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, p.45

[ ironie ] [ christianisme ] [ humour ]

 

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gamberge

Duane Hall : "Puis-je vous confier quelque chose ? Je vous le dis en tant qu’artiste, je pense que vous comprendrez. Parfois, lorsque je conduis… de nuit, sur la route… je vois deux phares qui se rapprochent de moi. Rapidement. Et j’ai cette soudaine envie de tourner brusquement les roues, droit sur cette voiture qui arrive. Je peux imaginer l’explosion. Le bruit des vitres qui se brisent. Les… flammes qui s’élèvent de l’essence qui se répand.
Alvy Singer : D’accord. Bien, je… je dois partir maintenant, Duane, parce que je… je dois retourner sur la planète Terre."

Auteur: Allen Woody

Info: Annie Hall 1977

[ imagination ] [ suicide ]

 

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humour

A mi-chemin, toutefois, quelqu'un s'aperçoit qu'ils n'ont pas enterré le bon mort. De plus, ils ne connaissent même pas celui-là. La personne qu'ils ont enterré n'était pas morte, ni même malade puisqu'elle chantait la tyrolienne. Ils retournent au cimetière et exhument le pauvre homme, qui les menace de leur faire un procès, aussi lui proposent-ils de faire nettoyer son costume et de leur envoyer la facture du teinturier. Pendant ce temps, plus personne ne sait qui est mort au juste. L'orchestre continue de jouer pendant que l'on enterre successivement tous les hommes présents selon le principe que le seul qui ne protestera pas sera le mort. Mais il apparaît très vite que personne n'est mort, et maintenant il est trop tard pour se procurer un défunt, à cause du départ en vacances.

Auteur: Allen Woody

Info: Destins tordus

[ absurde ] [ funérailles ]

 

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livres scolaires

À l’école, aucun professeur n’avait jamais su présenter la lecture pour nous la faire aimer. Les livres et les récits qu’ils choisissaient étaient ternes, sans humour, aseptisés. Aucun des personnages dans ces histoires soigneusement choisies pour un jeune public ne pouvait se comparer à Plastic Man ou au capitaine Marvel. Vous croyez sérieusement qu’un chaud lapin d’adolescent (là encore, au risque de contredire Freud, je n’ai jamais connu de période de latence), qui aime les films de gangsters avec Humphrey Bogart, James Cagney et les blondes faciles et sexy, va s’intéresser à fond au Cadeau des Rois mages d’O. Henry ? Bon, l’héroïne vend ses cheveux afin d’offrir à son amoureux une chaîne pour sa montre de gousset, et lui-même vend la montre en question afin d’offrir à sa chérie des peignes pour ses cheveux… Et alors ? La seule morale que j’en aie tirée c’est que rien ne vaut l’argent liquide comme cadeau.

Auteur: Allen Woody

Info: Soit dit en passant

[ démotivants ] [ pensée-d'homme ]

 

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Ajouté à la BD par miguel

cinéma

A mes débuts, tout le monde faisait composer la bande sonore de ses films par un compositeur. (...) et puis j'ai commencé à m'apercevoir qu'au montage, j'utilisais des disques et que finalement, je préférais ça. J'aime bien la sonorité des disques. En plus je peux en faire ce que je veux : bref, faire ma musique moi-même dans la salle de montage. Vous voyez, tous mes disques sont là : parmi les plus grands morceaux, les meilleures chansons du monde, je n'ai qu'à choisir. (...) Je sais par avance quelles musiques j'utiliserai. Par exemple, pour Manhattan, je savais que j'allais utiliser Gershwin. Et j'ai tourné des scènes qui ne signifiaient pas grand chose en elles-mêmes, mais qui ont bien marché avec une musique qui collait parfaitement. (...)
Je ne fais pas de post-synchro. Jamais en auditorium en tout cas. Depuis que je fais des films, il m'est arrivé d'y avoir recours pour deux ou trois mots que je n'aurais pas pu récupérer sans ça, à cause de graves accidents techniques. Mais généralement, je ne fais pas de post-synchro.

Auteur: Allen Woody

Info:

[ image-son ]

 

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